L’A400M de l’armée de l’Air et de l’Espace sur le taxiway Golf de Darwin quelques jours avant l'accident. Le jour de la collision, l’avion sera positionné au fond du taxiway, à la place occupée sur l’image par le C-17. © Frédéric Lert / Aerobuzz.fr
A l’issue d’un vol d’entrainement, un A400M de l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE) revient, sur l’aérodrome de Darwin (Australie), vers son point de stationnement et procède à une marche arrière pour se garer. Il heurte alors un obstacle et il est gravement endommagé.
L’A400M immatriculé F-RBAW appartenant à l’escadron de transport 1/61 Touraine est présent sur la base australienne de Darwin pour participer à l’exercice Pitch Black 2024. La base recevant plusieurs dizaines de chasseurs des nations participantes, il est d’abord question de stationner l’avion sur la base d’Amberley. Mais celle-ci est située à 3 heures de vol de la zone d’exercice, ce qui empêcherait de facto à l’A400M de participer aux missions tactiques.
L’AAE ayant...
5 commentaires
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Ben oui, je suis d’accord : les freins en marche arrière, c’est seulement fait pour faire rencontrer l’arrière de l’appareil avec le sol. Là, il y a pléthore de responsables, mais il faut faire payer les Allemands. Ils ont créé la première cause de l’accident. Quant au chef de soute, est-il rentré en France à fond de cale ?
Je pense que le commandant de bord peut chercher aussi un autre travail car il avait du monde à bord pour assurer son guidage en plus qu’il est arrivé face au coin de parking assigné.
On faisait des « marches-arrière » en Super Guppy. C’est un agent-sol qui assurait la sécurité et nous guidait par le geste. Une fois arrivés on remettait délicatement les hélices en traction et on freinait dès le premier signe de marche avant. Il n’y a jamais eu d’incident.
J’ai obtenu ma qualification NORATLAS à Toulouse en 1971.
Jeunes co-pilote nous étions déjà sensibilisé à ne pas utiliser les freins en marche arrière.
En cas de marche arrière la check list rappelait d’enlever les pieds des freins
Merci pour votre témoignage. Tout change et rien ne change !