L’industrie aéronautique a décidé de rendre les coups. Pour preuve, l’audition du DG de Safran devant une commission d’enquête de l’Assemblée Nationale. Peut-être parce qu’il avait juré de « dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité », peut-être aussi parce qu’il a senti que le vent est en train de tourner, Olivier Andriés s’est lâché. Plus que sa métaphore sur...
2 commentaires
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Il n’es pas nécessaire d’être Roussolâtre pour se sentir concerné par l’environnement.
Les quelques 3000m² d’exposition, forums, espaces à thème du Paris Air Lab de l’édition 2023 me sont clairement apparus comme une monumentale foutaise destinée à nous faire gober qu’on va bientôt massivement voler à volonté sans polluer.
Aujourd’hui, évidemment, il convient d’expliquer que ce sera « un peu plus long et un peu plus compliqué ».
Et quoi de plus efficace dans l’idée de certains que de pratiquer la surenchère verbale (lire « les grands coups de gueule ») très en vogue à Washington ?
Je trouve cela pitoyable.
Gil Roy, comme vous êtes je crois de Lyon, pouvez-vous nous rappelez la négociation de Safran avec la métropole écologiste de Lyon, en 2019 ?
De quelle obédience politique était les dirigeants de la métropole de Lyon qui avaient déployé un tapis rouge à Safran pour l’installation d’une usine et de quel parti étaient les dirigeants de la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui ont refusé les subventions, faisant ainsi échouer le projet ?
Certes, Olivier Andriéz n’était pas DG de Safran en 2019.