
Si tout se passe comme le prévoient Boeing et Airbus, sur les 20 ans à venir, le transport aérien mondial aura besoin de 660.000 nouveaux pilotes de ligne, 710.000 mécaniciens et 1 million d’hôtesses et de stewards. Les deux tiers pour remplacer les professionnels actuellement en activité et qui vont partir en retraite. Un tiers pour accompagner le développement de l’activité. Ce n’est...
2 commentaires
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Je suis mort de rire en lisant ce genre d’informations ! Ce ne sont pas les vocations qu’il faut déclencher, mais déjà revoir pourquoi si peu de candidats aux sélections des Cadets d’Air France (pour prendre un exemple) parviennent au stade de pilote de ligne. Pourquoi les jeunes qui ont acquis leur BIA sont bloqués net devant la facture à acquitter pour devenir pilote privé ?
Dans ma jeunesse l’Etat soucieux de former des pilotes justement, offrait des bourses aux jeunes ayant justement acquis leur BIA et qui voulaient continuer vers le pilotage. Si Boeing et Airbus veulent satisfaire leurs prévisions en besoin de pilotes pourquoi ne financent ils pas ces formations au lieu d’engraisser toujours autant leurs actionnaires ?
Les meeting aériens sont la preuve que les attirances vers l’aéronautique sont très nombreuses mais si un jeune décide de se renseigner sur la suite pour devenir pilote ,il reçoit une douche glaciale.
L’absurdité gouvernementale..
L’AVIATION POPULAIRE a été inventée en FRANCE, et les anciens politiques avaient bien compris que les aéroclubs étaient une source de connaissances, d’emplois futurs, de vocations…bon nombre d’avions, de moteur etc …ont été subventionnés par les pouvoirs publics, avec des tarifs préférentiels pour les AOT des aéroclubs, remis aujourd’hui en cause par certains « gestionnaires » de plateformes, par BERCY en supprimant les exemptions de taxes sur les carburants etc…
Ces nouvelles taxes et charges n’ont que des effets négatifs, moins de vols, car les portefeuilles ne sont pas extensibles, donc moins d’accoutumance aux conditions de l’air, donc moins de sécurité, plus d’accidents, moins de vocations…etc…ON MARCHE SUR LA TËTE; Si l’on voulait détruire une activité, on ne ferait pas autrement.
Réagissons fermement et faisons le savoir, ce n’est pas en ventant les avions éléctriques que l’on va y arriver, ce n’est pas en baissant la tête que l’on sauvera notre aviation, ce n’est pas en entravant les meetings aériens avec des contraintes absurdes que l’on suscitera des vocations.