Accueil » premium » Bernard Bacquié et le Boeing 747

Bernard Bacquié et le Boeing 747

Quand le cockpit d’un Jumbo jet devient le balcon sur le plus inattendu des spectacles visuels. Evidemment, l’évocation de ses phénomènes hallucinatoires ne pouvait que stimuler le pinceau de Jean Barbaud.

9 avril 1997, le Boeing 747 F-BPVP du Washington – Paris était sur orbite, pilote automatique enclenché.

Une passagère avait insisté pour être derrière moi, grâce à une hôtesse professionnelle jusqu’au bout de ses ongles vernis. Cette dame se désolait de n’avoir pu observer le phénomène aux Etats-Unis, sachant que cela devenait maintenant impossible en Europe.

Dans le sillage de la comète de Hale-Bopp

Le phénomène, c’était Hale-Bopp, là, au-dessus de nous, comète échevelée par sa course sidérale, star du ciel se détachant...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

4 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bravo Bernard ,

    C’est different de Saint-Ex au Maroc ton superbe livre comme aussi celui sur Guillaumet.
    A la retraite mais toujours dans l’aeronautique.
    Mon domaine c’est entre autre l’aeropostale.
    Amities

    Répondre
  • Et une fois, en retour solo de Mandelieu, au vu des conditions mto, il s’était posé sur une route, comme nous le conseillions aux pilotes du club.
    Le lendemain, Marcel était venu re-décoller le Jodel, les gendarmes bloquant la route un moment.

    Répondre
  • Sacré Bernard. Quelle belle plume.
    Je me souviens du Pére Yves Carmagnolle et de son accent marseillais.Il était dans mon stage d’embauche à AF.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.