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Hop ! reprend doucement du badin

La filiale régionale d’Air France, malmenée par les low cost européennes sur son marché domestique, mais aussi par sa maison-mère qui aspire ses pilotes, se sépare de sa flotte de turbopropulseurs ATR pour ne conserver que ses biréacteurs Embraer et Bombardier. La mise en place de cette nouvelle stratégie industrielle devrait lui permettre de réduire ses coûts et de simplifier la gestion de ses pilotes. Reste à connaître la place que lui réserve Ben Smith dans le groupe Air France KLM.

Hop ! vient de traverser une zone de fortes turbulences. Le ciel s’éclaircit devant elle affirme Alain Malka, son directeur général. Il nous a assuré, lors d’une récente rencontre, que l’épisode des avions laissés au sol faute d’équipages en nombre suffisant appartenait au passé et que le recours aux affrètements était en baisse. Selon les syndicats de pilotes, depuis mars 2017, entre 10 et 15 avions étaient régulièrement cloués au sol pour cause de sous-effectif de pilotes.

Victime d’un concours de circonstances

Comme...

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Un commentaire

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  • Article très intéressant qui décrit bien le chaos stratégique dans lequel vit le Groupe AF depuis des décennies! Et le pire est que le « n’importe quoi » ne s’arrête pas à la stratégie (cf la politique clients, je tiens à disposition des curieux quelques illustrations en la matière…).

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