Accueil » Aviation Générale » Mika Brageot : nouvelle livrée, nouveaux objectifs et retour aux sources

Mika Brageot : nouvelle livrée, nouveaux objectifs et retour aux sources

Mika Brageot devant son MXS-R ex-Skyracer, doté d'une nouvelle livrée chromée. © Underground Pictures

Avec la disparition du logo Breitling sur ses ailes, Mika Brageot n’aura finalement volé qu’un an sur le « Skyracer », son warbird de course. En effet, c’est avec une toute nouvelle livrée que le Français s’alignera pour la première course de la saison Red Bull Air Race, dans 15 jours, à Abu Dhabi (2 et 3 février). Parallèlement, en 2018, le Français souhaite revenir à ses premiers amours pour la voltige, chose désormais possible grâce aux accords signés entre Red Bull et la FAI.

Adieu l’effet rouillé, adieu l’usure, adieu la patine du Skyracer, l’avion de Mika Brageot est désormais recouvert d’une peinture chromée : « Cela fait longtemps que j’avais en tête ce style-là. L’avion reflètera ce qui l’entoure et changera de couleur au gré de son environnement », explique-t-il, très satisfait du résultat. Un style résolument moderne voire néo-futuriste, accentué par des notes noires et un discret liseré bleu, blanc, rouge, présent sur le fuselage et les carénages de roues.

Style chromatique…

Sur le capot on...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

12 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Amour, délice et orgue sont féminins au pluriel, donc retour à ses premières amours ! Cordialement.

    Répondre
    • liseret \ masculin (Oise) Nom local du liseron des champs.

      liseré
      ou

      liséré nom masculin
      Petite ganse ronde cousue au bord d’un vêtement.
      Raie étroite bordant une étoffe, un ruban.

      Dur dur, le métier de journaliste.
      Mais bravo pour l’article, qui est bien fait.

      Répondre
  • Perso, j’ai bien aimé l’article, agrémenté de bien belles photos. Merci.

    Répondre
  • Après Figeac-Aéro, vous reprendrez bien une coupe de chauvinisme? COCORICO pour BRAGEOT!

    Répondre
    • La blague du « chauvinisme à boire » a déjà été faite… justement sur le dernier article qui parlait de Figeac-Aéro… et justement par vous-même. Santé !

      Répondre
  • Article sans intérêt assimilable à un « Appel à sponsors déguisé »…

    Répondre
    • @ Pierre

      Toujours aussi constructif !

      Répondre
    • @Pierre, de votre part, il s’agit du énième…
      Commentaire sans intérêt assimilable à un « Appel au blacklistage déguisé »…

      Répondre
    • @ notre Pierrot  » le pitre  » a encore œuvré, triste pathologie récurrente ……………. (Clin d’œil ).

      Répondre
    • Ben non, je suis pas sponsor, je suis même pas pilote… je suis un triste technico-commercial en ford focus qui a vu ses rêves aéronautiques s’écrasé un dimanche de janvier 1988, à 7 ans, lorsque l’appareil radio-commandé qu’on lui avait quelques années avant s’est écrasé parce qu’un pilote casse cou du club avait pas vu que la trime était à fond vers le bas. Ah si, j’ai aussi passé une nuit et une journée à la selection des EOPN de Bretigny… sur les 4 jours de selection.
      Alors merci pour ces articles qui s’ils ne sont pas d’un grand intérêt macro économique, ou sur une disrpution technique m’envoie des étincelles dans les yeux et me font regarder les pilotes de voltige comme je regardai l’étoffe des héros lorsque j’avais 10 ans… putain, j’en ai 40 et j’ai toujours pas appris à voler… et je n’apprendrai jamais. alors merci pour ces moments de passion.
      Continuez

      Répondre
      • @Willywill : il ne faut jamais dire « jamais »…
        Une licence de planeur coûte en moyenne 1 500 € tout compris (heures de vol, cours théoriques, examens, etc). Elle permet de s’orienter vers le moto-planeur qui lui-même peut vous diriger vers un brevet de pilote privé à moindre coût. Pas besoin d’économiser pendant 10 ans pour franchir le pas. Vous êtes encore jeune… et même TRÈS jeune (nous avons le même âge). Allez donc pousser la porte du club de vol à voile le plus proche de chez vous : se renseigner ne coûte rien.
        Bons (futurs) vols.

        Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.