Accueil » Aviation Générale – brèves » Singapore, l’EASA et Airbus planchent sur la réglementation des drones en ville

Singapore, l’EASA et Airbus planchent sur la réglementation des drones en ville

Le législateur court derrière les industriels qui multiplient les expérimentations en attendant de pouvoir évoluer dans un cadre réglementaire défini. © S. Ramadier / Airbus

L’Autorité de l’Aviation Civile de Singapour (CAAS), l’Agence Européenne de la Sécurité Aérienne (EASA) et l’avionneur européen viennent de signer un accord de collaboration pour définir un cadre règlementaire dans lequel doit pouvoir entrer les drones civils dans un environnement urbain.

Taxis volants autonomes et drones, le ciel de nos villes risquent de devenir encombré dans la décennie à venir à en juger par le nombre de projets en cours de développement dans le monde entier. Afin d’anticiper l’émergence de cette nouvelle forme de mobilité aérien, la CAAS, l’EASA et Airbus ont décidé se pencher pour commencer sur les drones et de s’intéresser aux aspects sécuritaires, opérationnels et règlementaires de leurs évolutions en zone urbaine.

C’est ainsi que les essais opérationnels menés...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Un commentaire

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • C’est pas la règlementation qui va freiner le développement, c’est la malveillance. Comme son nom l’indique, un UAV est un appareil qui circule sans personne à bord. De ce fait, s’il tombe, il n’y a pas réellement de mise en danger, hormis s’il tombe sur quelqu’un. Et comme un simple lance pierre peut mettre un drone à terre pour en récupérer sa marchandise, les industriels vont y réfléchir à 2 fois avant de mettre des objets de valeur dans un drone. Et quand il y en aura 2 ou 3 qui auront été mis au tapis, pas sûr que ce moyen de transport se démocratise aussi vite que prévu. D’autant qu’en ville, avec les émissions d’ondes en tous genres utilisés par la TV, les téléphones, la domotique, etc, il va sérieusement falloir blinder les systèmes pour qu’ils ne soient pas perturbés par une antenne et provoquent un fly-away..

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.