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Indochine, la BD à suivre

BD Indochine

C’est l’histoire d’un pilote français qui débute le 1er janvier 1945, sur P-51 Mustang et se poursuit sur P-47 Thunderbold en Indochine. Une bande dessinée 100% aéronautique qui met en scène des personnages pittoresques.

Parce que l’éditeur prévient que cette bande dessinée est « librement » inspirée de la vie du pilote français Armand Baverel, quelques clics s’imposaient. Et c’est un fait, le peu d’information livrée par les moteurs de recherche sur cet ancien pilote militaire, démontre que les auteurs, n’ont apparemment, retenu que le nom. Pour le reste, il semble évidemment qu’ils ont laissé libre cours à leur imagination et leur créativité. Et le résultat est réussi.

Le scénariste Jean-Pierre Pécau et le dessinateur Maza n’en...

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12 commentaires

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  • Merci, Monsieur Stormy, pour votre précision. Ainsi, vous seriez le petit-neveu de Pierre Pasquier. Raison de plus pour vous intéresser à mon opus qui contient de notables photos restaurées et colorisées de ce dernier. En échange, petite précision de me part : si Maurice Noguès a pris les commandes du Dewoitine D-332 ‘Émeraude’ pendant le voyage, comme il l’a écrit dans sa dernière lettre, il n’en était toutefois pas le pilote en fonction. Merci aussi pour vos conseils. mais ma biographie de Noguès s’arrête – bien évidemment – avec sa mort, en 1934 donc. J’ai toutefois les mémoires de l’amiral Decoux, comme celles de Thierry d’Argenlieu, le fossoyeur de l’entente Leclerc – Ho Chi Minh (et Jean Santeny qui a témoigné dans son livre  » Histoire d’une paix manquée « , publié chez Amiot Dumont ). Bien à vous.

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    • Merci, monsieur Bacquié. Vous semblez être quelqu’un de bien.
      Arrière-petit-neveu seulement – ce qui fait un lien bien ténu.
      Je vais chercher à me procurer votre livre – vous en avez commis plusieurs, semble-t-il, c’est une belle occupation que d’écrire.
      Avez-vous lu (et là je m’adresse aussi aux autres contributeurs) :
      « Marin de métier, pilote de fortune » de l’amiral Jubelin, qui s’évada d’Indochine en volant un petit avion d ‘aéro-club, traversa en aveugle le golfe de Siam en faisant le plein en vol à partir de bidons dans la cabine…devint pilote de Spitfire dans la RAF, en fut retiré par la Marine qui ne voulait pas perdre ce potentiel et lui donna un croiseur à commander, et eut ensuite une fort belle carrière qui le fit retourner notamment deux fois en Indochine….
      « Enlevez les cales » de René Chambe – sur l’aviation de l’entre-deux guerres, merveilleusement écrit…
      « Pilote de Stukas » de H.U. Rudel, apocalyptique, celui qui m’a fait devenir ce que je suis (trouvez l’édition intégrale)
      Tout cela pour sortir un peu des sempiternels deux ou trois ouvrages d’aviation qu’on nous serine régulièrement….

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  • https://www.lecharpeblanche.fr/breves/armand-baverel-%E2%9C%9D/
    Si ces infos de 2015 peuvent apporter un peu d eau au moulin.

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  • Prétention historique… ? Je ne sais pas, mais pour moi, c’est un what-if, une uchronie de plus, dans la lignée de toutes celles, parfois vraiment réussies, que les auteurs ont déjà produites.
    Déjà des P-47 en Indochine… il n’y en a jamais eu malgré les demandes répétées de l’État-major de l’AA, et les refus étasuniens par opposition au colonialisme européen (Ho Chi Minh avait été agent de l’Oss, et les E-U feraient tellement mieux que nous au Viet-Nam… croyaient-ils).
    En ce qui concerne l’installation de l’aviation et de l’hydraviation en Indochine et un témoignage sur la Marine en Indochine pendant la guerre, il y a le témoignage exceptionnel du CV Ménès à découvrir absolument :
    https://ardhan.pagesperso-orange.fr/site/calao.htm

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  • Les ouvrages sur les forces armées françaises en Indochine, ne manquent pas. Les archives non plus. L’ECPAD doit détenir pas mal de chose.

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  • Bonjour,
    Si Stormy s’intéresse à l’Indochine et veut des livres s’appuyant sur des archives incontestables, je lui recommande mon ‘Maurice Noguès vers l’Asie avec la nuit’ qui sort aujourd’hui. Il y trouvera même un paragraphe sur Marguerite Donnadieu, alias Duras, mais toujours attaché à l’histoire… et avec des photos anciennes restaurées. Vivent les aviateurs !

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    • Mais oui monsieur Bacquié.
      Je connais tout ça – la personnalité coloniale qui décéda dans le crash de cet avion d’Air France piloté par Mr Noguès était mon arrière-grand-oncle. Vous comprendrez que je l’ai peu connu.

      Si vous vous intéressez au sujet, vous pourrez lire utilement « A la barre de l’Indochine » par l’amiral Decoux, grand serviteur de la France et Gouverneur Général d’Indochine pendant toute la 2° GM.

      Ou alors « Derniers virages » de Jean-Paul Salini, qui sait de quoi il parle (pilote de Grumann F8 à Cat-Bi…)

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  • Bon, ça prétend être historique, et c’est apparemment plus que romancé. Bien dans l’air du temps, ça…. Je sens que l’histoire va encore être bien réécrite – et comme désormais presque plus personne n’y connait rien, aidé en cela par l’histoire désormais enseignée jusque dans les facs (plus de chronologie, juste des courants d’idées en privilégiant celles de maintenant) on peut ainsi se livrer à toutes les intoxications que l’on veut.
    « librement inspirée »… ça ne me donne pas envie du tout de lire la chose.

    Plutôt que de lire Marguerite Duras et Régine Deforges, ou de voir « Indochine » avec Catherine Deneuve, lisez donc  » les oubliés du bout du monde  » de l’amiral Romé.
    Et là on reparlera de tout ça.

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  • Cet article et surtout son « P.S. » sont un peu bizarres.
    Il suffit de taper « armand baverel pilote » sur Google pour trouver des renseignements, notamment sur le site « passionpourlaviation.fr » qui contient une fiche biographique et une photographie de ce pilote décédé en 2015.
    Amitiés à tous les lecteurs d’Aerobuzz.

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    • Nous aimerions aller plus loin dans la connaissance.

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    • Armand Baverel fut pilote dans l’Armée de l’Air, mais le récit que vous trouverez dans cet album lui fait vivre des aventures fantaisistes. Déjà, l’histoire commence avec un Armand Baverel qui pilote dans l’US Air Force… Il s’y serait engagé en 1943… La carrière du vrai Baverel débute en 1948 à l’âge de 19 ans. En 1943, il aurait eu 14 ans… Et il ne s’engage pas dans l’Armée de l’Air française comme pilote, mais comme mécanicien. Oui, il deviendra pilote, mais en 1955…

      Trouvé sur le Net, à vérifier…

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