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Voler en apesanteur

Ouvert aux touristes de l'apesanteur depuis juin 2015, l'A310 de Novespace totalise près de 4.300 paraboles et 5.000 passagers transportés, scientifiques et privés. © Novespace

Les éditions De Boeck proposent un véritable guide du vol en apesanteur : de la théorie du vol en gravité réduite, en passant par la préparation de son vol en apesanteur et jusqu'au tour d'horizons des avions actuels et passés dédiés aux vols paraboliques, Frank Lehot nous livre une ode à l'apesanteur.

Médecin, instructeur et navigant sur les vols d’Air Zero G organisés par Novespace, Frank Lehot totalise plus de 12 heures de vol en apesanteur. Co-auteur avec Jean-François Clervoy de plusieurs ouvrages sur la micropesanteur et l’espace, Frank Lehot signe au éditions De Boeck un guide du voyageur atypique pour un voyage qui l’est tout autant : le vol en apesanteur. Si l’auteur aborde l’intérêt scientifique des vols paraboliques, Voler en apesanteur est avant tout dédié au touriste de l’apesanteur.

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2 commentaires

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  • C’est une autre preuve que la langue française est jolie, mais scientifiquement et techniquement souvent imprécise, voir faute.

    En Allemand on l’appelle « Schwerelosigkeit », donc l’absence de la « Schwere ». Le mot ‘die Schwere’ signifie la force du poids des choses, donc F=m*g, en concluant que les effets d’inertie sont inclus des dans.
    Un Vol en apesanteur est donc bien un vol en « Schwerelosigkeit ». Tout est en ordre, même la logique.

    Répondre
  • Bonjour
    Belle expérience à vivre que celle de l’impesanteur oui ; je l’ai vécu en Caravelle, avec des astronautes, dont Jean-François Clervoy d’ailleurs. Je regrette que le terme impesanteur ne soit pas utilisé, il signifie absence (quasi absence) de pesanteur et surtout à l’oral permet d’éviter de confondre les deux expressions parfaitement contradictoires ; « la pesanteur », et « l’apesanteur ». L’apesanteur est impropre de ce fait, même si acceptable…
    Quant à la gravité, pourquoi en parler là ? Elle parfaitement identique dans l’avion ou sur le plancher des vaches ! Même dans la station spatiale le niveau de gravité reste encore de 95%! Dans les deux cas c’est le seul effet de la gravité qui est modifié et non pas la gravité qui reste identique. Malgré c’est vrai un avion baptisé « OG », ce qui n’a rien de pédagogique j’en conviens. Je suppose que tout est correct dans cet ouvrage, mais les termes de sa présentation sont plutôt mal choisis, je trouve. Bonne lecture, et c’est vrai, c’est une expérience extraordinaire.

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