Accueil » Défense – brèves » C-130J, c’est parti pour la formation des pilotes français

C-130J, c’est parti pour la formation des pilotes français

Un des 14 Hercules de l’armée de l’Air (ici un C-130H-30) au décollage. La flotte de C-130H a été mise en service entre 1987 et 1997. © Frédéric Lert/Aerobuzz

  Les quatre premiers pilotes de l’armée de l’Air ont pris le chemin de Little Rock (Arkansas) pour y suivre une transformation sur le C-130J. Quatre appareils de ce type ont été commandés fin 2015 pour notamment suppléer aux retards du programme A400M.

Le C-130J faisant appel à un équipage « à deux », aucune formation de mécanicien navigant n’est requise. Il est prévu que l’armée de l’Air reçoive ses premiers C-130J cette année. Dans le même temps, la DGA resserre les boulons autour de la flotte de quatorze C-130H déjà en service au sein de l’armée de l’Air : la maintenance des moteurs et des cellules sera rapatriée en France et confiée au SIAE à partir de 2018. Dans le même temps, le volant...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

2 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bonjour,
    Pour avoir été, dès 1981, Cdt de Bord et instructeur sur C 130 L et lancé cet avion dans une compagnie charter cargo française civile (la SFAIR), je trouve proprement aberrant de ne pas conserver un mécanicien navigant pour opérer ce type d’avion, quadrimoteur à hélices de conception basique ancienne même s’il a été « enrichi » de multiples prothèses informatiques au fil des ans!.
    Au surplus, ancien Cdt de Bord du Transport aérien militaire, j’atteste que le fait de pouvoir s’appuyer complètement sur un mécanicien navigant pour la gestion des systèmes avion pendant que les deux pilotes gèrent au mieux la mission tactique est un « plus » très apprécié et sécurisant!
    Et la lenteur de la certification « proprement militaire tactique » des actuels Airbus A 400 M me suggère que la solution retenue de l’équipage à deux pilotes seulement pour ce type de missions n’est peut-être pas la plus appropriée…

    Répondre
  • Il va falloir revoir vos infos… Pas de mécanicien d’équipage en conduite, mais au moins 1 loadmaster… Vous avez déjà vu des pilotes de C130J charger leur avion seuls !? ?

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.