Accueil » Industrie – brèves » La NASA travaille sur une aile plus performante

La NASA travaille sur une aile plus performante

Après avoir validé les modifications apportées au X-56A lors d'un vol de test fin août 2017, le démonstrateur de la NASA effectuera de nouveaux vols début novembre pour étudier la flexibilité de l'aile © Nasa

La NASA teste actuellement de nouvelles technologies qui pourraient mener, d'après l'agence américaine, au développement d'ailes plus légères, plus souples, plus efficaces, plus sûres et moins bruyantes. L'agence américaine teste la déformation structurelle de l'aile ainsi qu'un nouveau type de volets.

Le modèle réduit X-56A va mener en novembre 2017 une série de vols tests dans l’objectif de démontrer la technologie d’une aile légère et hautement flexible. D’après la NASA, l‘utilisation d’ailes moins rigides sur le plan structurel pourrait permettre aux futurs avions de ligne longs-courrier de réduire leur consommation de carburant.

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

6 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Lockheed en connait un rayon avec le phenomene de flutter.
    Le L-188 Electra a subi 2 crashes avant que le phenomene soit identifie. Cela a mis un terme a la carriere civile de cet avion qui continue sa carriere sous le nom de P3-Orion en tant que patrouilleur maritime.

    Répondre
  • Les essais aérodynamiques s’effectuant de plus en plus sur des maquettes ou des drônes sans risquer la vie des pilotes. Un pas qui favorise grandement le développement de voilures aux profils très audacieux.

    Répondre
  • Des ailes souples comme les oiseaux pour réduire la consommation en battant des ailes au décollage ????? Faut espérer qu’elles soient très très solides ………

    Répondre
    • Telle le roseau, aile plie mais ne rompt pas…
      Concept de retour après une recherche de la rigidité maximale, déjà appliqué aux ailes des derniers Airbus et Boeing (A350 et B787)
      Gaffe au flutter ! Il faut une aile raide en torsion mais souple en flexion… Pas simple…

      Répondre
    • Une aile d’oiseau répond au pb de flutter par plusieurs techniques :
      sa GV , son système d ‘ « entoilage  » ,et ses capteurs (temp. ,vibrations )!
      Gv : il y a en gros 3 « panneaux  » bras ,av bras ,et main … leur longeron n’est pas souple ,c’est de l’os ,léger et dur . mais les articulations ,elles (épaule ,coude ,poignet) sont dotées d’une souplesse calculée pour la GV adaptée au type d’oiseau .Plumes : elles sont montées sur un cartilage ,pour celles de vol ,et les autres (couverture ) sur la peau, avec capteurs à leur base ! . les couvertures moyennes pouvant se soulever ,de façon à éviter un décrochage ! et elles sont au bord de fuite « endentées « ,et souples , ce qui évite aussi le flutter , en remarquant que leur souplesse est adaptée selon la vitesse pour laquelle est fait l’oiseau (rapides ,type faucon ,goélands ,et lents ,type vautour ).

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.