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Une école rwandaise se positionne sur la formation des pilotes africains

Patrick Nkulikiyimfura, directeur f(Akagera Aviation (à gauche) et Paolo Pascale, PDG de Tecnam (à droite). © Tecnam

L’école privée de pilote Akagera implantée sur l’aéroport de Kigali (Rwanda) vient de commander 4 avions légers à Tecnam et un simulateur de vol SoftekSim. Airbus évalue à 21.580 le nombre de pilotes de ligne en Afrique d’ici à 2036.

ATR exploite un centre de formation d’ATR 42/72 à Johannesburg depuis 2012. Le constructeur franco-italien, filiale d’Airbus, s’est positionné au plus près de ses clients africains pour accompagner le développement du transport aérien en Afrique. Airbus, estime que si le continent ne représentera que 3% des livraisons d’avions neufs sur les 20 ans à venir, cela porte tout de même sur 1.050 avions. D’ici à 2036, l’Afrique aura besoin de 21.580 pilotes et 29.900 techniciens supplémentaires.

C’est en misant sur cette...

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8 commentaires

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  • Comment postuler ??

    Répondre
  • par NGATOBO-MINA TELEGRI

    SALUT! TRES RAVI DE L’INNOVATION,JUSTE POUR AVOIR DES INFORMATIONS SUR LES PROCEDURES DE L’ADMISSION A L’ECOLE.MERCI!

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  • Pour rappel : pour qu’un gamin ait envie de devenir pilote, il faut d’abord qu’il voit des avions et qu’il puisse voler. C’est le but de cette école.

    Ensuite, une fois pilote « de loisir », il se peut que l’envie vienne de devenir pilote professionnel, de ligne ou militaire.

    Alors il y a d’autres écoles, mais très peu en Afrique.

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  • Super nouvelle ! Pour former un pilote qui va faire du service « de brousse » sur des avions léger, ca va permettre de former sur place et de rafraichir/proroger les pilotes à tarif raisonnable. C’est une première étape pour cette école qui doit viser pour plus tard les qualifications bimoteurs. Le but n’est pas de faire des pilotes de ligne, mais des pilotes, tout court ! Belle initiative !

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  • En plus, il n’y a pas de bimoteur dans la commande, donc pas de licence possible IR/ME

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  • Tout ça est très bien, mais si l’école n’a pas d’agrément EASA, et juste un agrément OACI, ses stagiaires ne trouveront pas d’emploi avec un CPL/IR non EASA/FAA

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  • Enfin une bonne nouvelle ! Gageons que le niveau sera de bonne qualité, même sans ‘école « officielle ». Espérons qu’elle durera avec des moyens autonomes

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  • « Pour que la loi du progrès existât, il faudrait que chacun voulût la créer ; c’est-à-dire que, quand tous les individus s’appliqueront à progresser, alors, l’humanité sera en progrès » (Charles Baudelaire)

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