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L’histoire authentique des lignes méconnues de l’Aéropostale

Les grands débuts de l’aviation commerciale à travers le monde ne finissent pas de révéler leurs intrigues. Avec « La Compagnie Générale Aéropostale, les autres lignes » (éditions Privat) voici qu’on découvre les aventures parfois peu banales de ces fameuses « autres lignes » qu’étaient Latécoère, l’Aéropostale, la Compagnie transafricaine d’aviation, Aeroposta Argentina, etc. Une fameuse leçon d’histoire.

Nos enfants traverseront-ils l’histoire des débuts de l’aviation avec pour seule référence la « ligne Mermoz », cette fabuleuse ligne qui reliait la France à l’Amérique du sud à la fin des années 1920 ? Rien n’est moins sûr ! C’est du moins ce que pense Jack Mary qui publie actuellement chez Privat une synthèse historique consacrée à « La Compagnie Générale Aéropostale, les autres lignes ». Membre de l’association « Mémoire d’Aéropostale » et de « Toulouse Montaudran...

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8 commentaires

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  • Bonjour du Brésil,
    Avez vous lu :www.aeropostaleameriquesud.com ?
    Cordialement.Patrick de Bure de Natal

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  • L’histoire authentique des lignes méconnues de l’Aéropostale
    Le succès des contes de fée, c’est comme au gré des mots une l’histoire qui s’agence dans notre imaginaire. C’est la lecture elle-même, c’est le récit qui prend corps au fil de son récit. C’est des lieux, des temps, des événements, dans un monde extraordinaire. On se passionne pour le héro de conte, on le vénère, on le jalouse. C’est comme si nous avions besoin de cela pour nous évader du quotidien de notre vie. Les histoires mignonnes adoucissent notre quotidien. Les livres aident ainsi, tout comme les fêtes, à créer des couleurs vives que la nature n’aurait pas inventées. Le héro est souvent orphelin, abandonné, rejeté, miséreux. Il se bat et il réussit toujours. Le héro, c’est Youri Gagarine, un fils de fermier, un ouvrier lui-même ainsi choisi, envoyé dans une capsule autour de la terre et qui revient vivant. La fin est belle, toujours, je crois.

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  • par Philippe Ballarini

    Rectifions
    Vous écrivez :
    les raids de reconnaissance des héros parfois oubliés qu’étaient les pionniers et pilotes de Latécoère, les Paul Vachet, Didier Daurat, Gaston Chenu et autres Marcel Bouilloux-Lafont

    Bonsoir,

    Le livre est effectivement une réussite et réhabiliter les noms de héros oubliés, c’est louable, mais votre texte laisse entendre que Marcel Bouilloux-Lafont était un « pionnier et pilote de Latécoère »… quand il était tout simplement le créateur et le patron de l’Aéropostale. Rien que ça.

    Cordialement

    Philippe Ballarini

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  • L’histoire authentique des lignes méconnues de l’Aéropostale
    Aujourd’hui les mots courage, volonté, abnegation, n’apparaissent plus que sur les feuilles glacées des derniers dictionnaires…ils ne font malheureusement plus parti du vivant. C’était l’époque des « grands » de l’aviation, ces hommes visionnaires qui n’hésitait pas à braver leurs peurs, leurs doutes face à des situations inédites jusqu’à lors. C’était le temps ou un seul mot prenait tout son essort, un mot porté comme une médaille offerte aux plus
    méritants : le mot  » héros… »

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  • L’histoire authentique des lignes méconnues de l’Aéropostale
    Oui vous avez tout à fait raison! C’est beau, c’est joli à raconter en famille.
    Mais ce sont entre autre des gens comme vous qui, de par leurs besoins de sur sécurité, de rendements, de standardisation et de sureté ont créer une société dans laquelle avoir des couilles est éliminatoire.
    Une société où voler sur turbine nécessite minimum 700 hdv, une société ou monter ses heures est un vrai calvaire où les mots responsabilité et engagement n’existent qu’au pret d’un assureur.
    Le métier de pilote tel qu’il est exposé n’existe plus, tout comme le métier d’Ingénieur n’existe plus. C’est simplement un constat, la seule solution est d’être novateur dans un domaine où la législation n’a pas encore contraint, où les règles ne sont pas dictées par la masse et que cela ne colle pas encore à un model économique.
    Mais voila, je suis nez trop tard pour espérer faire un métier complet comprenant la technique, la navigation la communication et bien sur le pilotage. Désormais, c’est procédure et AP sur ON. Vouloir penser ou réfléchir est illusoire et dangereux aux yeux d’une hiérarchie couverte par une trentaine de parapluie réglementaire (dont le summum est la DGAC).
    L’ancienne époque (de l’aviation) n’est tout simplement plus accessible au plus jeune, ce ne sont pas les jeunes qui ont changé.

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  • L’histoire authentique des lignes méconnues de l’Aéropostale
    Bravo a Jack qui a su avec le talent que je lui connais d’avoir fixé cette période exaltante mais aussi dangereuse, afin que les hommes qui l’ont réalisée ne tombent pas dans l’oubli car ils etaient de véritables héros.

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  • L’histoire authentique des lignes méconnues de l’Aéropostale
    C’était le temps ou être pilote était une vraie vocation et un métier aux multiples facettes, raison (entre autres) pour laquelle l’uniforme était un bleu de chauffe.
    La motivation de ces gars là n’était pas de faire une carrière dans la ouate avec des conditions de travail dorées sur tranche (comme c’est trop souvent le cas aujourd’hui) mais de relier les hommes, comme disait St Ex le poète…
    C’etait aussi le temps des chefs visionnaires et respectés.
    Les « bébés Mermoz » de notre compagnie nationale, qu’ils soient pilotes ou directeurs, feraient bien de s’en inspirer plus souvent pour sortir des ornières dans lesquelles ils se sont eux-memes embourbés.

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  • L’histoire authentique des lignes méconnues de l’Aéropostale
    Et oui, en plus d’être bon « manoeuvrier d’aviation » , il fallait du bon sens , des connaissances en mécanique et surtout des coui….grosses comme ça.

    Une autre époque…

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