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Le futur porte-avions français à l’étude

Après 15 années d’activité opérationnelle, le porte-avions Charles de Gaulle est l'objet d'une remise à niveau depuis le printemps 2017. © Marine Nationale

Au salon Euronaval (Le Bourget, 23-26 octobre 2018), Florence Parly, ministre des Armées, a annoncé le lancement officiel de la phase d’étude du successeur du porte-avions Charles de Gaulle.

Alors que le Charles de Gaulle devrait repartir en mission opérationnelle avec l’ensemble de son groupe aéronaval, dès le premier trimestre 2019, après un chantier de plusieurs mois de remise à niveau, la France annonce le lancement officiel du programme de renouvellement de son unique porte-avions. L’annonce de la ministre, faite au salon Euronaval, donne le coup d’envoi d’une phase d’étude de 18 mois qui doit permettre d’établir un cahier des charges : « ce que nous voulons et comment nous le...

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7 commentaires

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  • marine nationale en effet la France a besoin d un second porte avion plus grand large puissant et éfficace depuis longtemps le pays à toujour ue deux pa Foch Clémenceau il serait temps que le futur pa soit mis en chantier et accelerer la construrction des sna type barracuda

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  • A l’heure d’ITAR, quand les Belges quittent Cazaux alors que Trump veut se désengager de l’OTAN et où nous n’avons pas été capables de concevoir un successeur à l’Alphajet, un optimiste utopique pourrait-il détecter, dans cette étude qui s’annonce, une occasion de créer un embryon de Défense européenne ?
    Avec plusieurs porte-avions équipés de SCARF ?

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  • et surtout, il faudra choisir une cale qui permette une longueur suffisante ….

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  • C’est l’arbre qui cache la forêt, quand on sait l’état de délabrement de notre Armée.

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  • Dommage que les Belges aient déjà choisi le F35. Si le parti nationaliste flamand n’était pas aux commandes , il aurait pu en être autrement.

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    • par Pilotaillon du 21eme siècle

      Au doigt mouillé, (ou dans le pot de confiture)
      Bexit, dissolution de l’EU, nucléarisation des US, le doigt sur le bouton de la déconfiture, Cambridge Analytica…
      Pardon, pardon, j’ai peut-être dit des gros mots ?!

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  • Espérons qu’ils feront pas à nouveau la connerie de faire un exemplaire unique. Un second PA coûte 15% du prix du premier, le gros de la dépense c’est la conception, pas la construction.

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