La peau du F22 Raptor intègre les antennes du système de guerre électronique ALR94 capables de détecter, d'identifier et de localiser discrètement toutes les menaces dans un rayon de plusieurs centaines de kilomètres autour de l'avion. © Lockheed-Martin
Le F22 Raptor est l’avion de combat de tous les superlatifs. Le plus agile, le plus furtif, le plus perfectionné… Tellement performant qu’il relègue tous ses contemporains, au mieux, au rang de faire valoir, au pire, de cibles ! Mais il est aussi le chasseur le plus… cher de l’histoire de l’aéronautique.
Selon le point de vue où l’on se place, le F22 a déjà couté au contribuable américain, entre 150 et 400 M$ pièce. Et ce n’est pas fini. Les 170 F-22 Raptor en service au sein de l’USAF vont subir un programme de remise à niveau dont le coût est estimé à 7,4 milliards de dollars. Une manne que se partageront Lockheed Martin, Boeing et Northrop Grumman ainsi que leur cohorte de sous traitants. L’enjeu de ces travaux ? «...
4 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Très cher F-22 Raptor !
Un avion qui ne sert à pas grand aujourd’hui vu l’état actuelle des flottes adverse… oui mes dans la décennie à venir, les chinois et les russes alignerons des avions capable de rivaliser, donc oui messieurs les Américain, c’est l’avion qu’il vous faut !
Très cher F-22 Raptor !
plusieurs décennies d’avance donc !
Très cher F-22 Raptor !
J’imagine que ceux qui ont volés dessus on une petite idée de la « bête ».
Très cher F-22 Raptor !
Il faut rappeler que l’avion est, sur le papier, très bon, mais à vrai dire, personne ne sait s’il est si bon, c’est comme le F-35…
En revanche, il n’a encore jamais participé à un conflit, ce qui fait que les journaux américains ricanent en se demandant si c’est bien l’avion qu’il fallait… et s’il est bien à la hauteur de se qui était prévu.