Accueil » Industrie » Le MS-21-300 d’Irkut percera-t-il ?

Le MS-21-300 d’Irkut percera-t-il ?

Au-delà des seules performances techniques et des coûts d’opération du MS-21, UAC/Irkut devra également convaincre les compagnies aériennes de la solidité de son soutien technique. © Frédéric Lert/Aerobuzz.fr

Prenant de plein fouet la concurrence occidentale, les avionneurs russes tentent désespérément de prendre pied sur le marché hautement compétitif des avions commerciaux. Le MS-21 d’UAC/Irkut part avec des handicaps.

Il aurait pu faire ses débuts publics au salon du Bourget, mais il fut finalement une des vedettes du salon MAKS de Moscou. C’est un peu, résumé en deux salons aéronautiques séparés de quelques semaines, le récit du fardeau porté par les appareils commerciaux russes : un espace vital intérieur qui leur est (partiellement) acquis, mais de grandes difficultés à trouver leur place face à la concurrence occidentale. Une situation qui encore aggravée par le poids des sanctions commerciales initiées par...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

4 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • par chorus2a@gmail.com

    Il y a une petite chance, surtout s’il arrive a démontrer qu’il n’a pas les tares des deux autres… Parce que question SAV, les russes, ils ont aussi de l’expérience…

    Répondre
  • Ce qui est dommage, c’est que toute l’infrastructure, les ingénieurs, les bureaux d’étude, existaient auparavant. Il faut tout reconstruire.

    Répondre
  • Le support client, le défi est bien là.

    Dépôts de pièces là où opèrent les clients, support technique H24 et télémétrie en temps réel. Airbus a construit sa fiabilité pas à pas.

    Répondre
  • Developper un avion et un moteur en meme temps de n’est pas du gateau, meme si ce sont 2 societes differentes, rappellons nous les deboires de Dassault avec le Silvercrest, ils ont fini par jeter l’eponge.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.