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Richard Branson lance la course au tourisme spatial

Le vol de Richard Brason (à droite) intervient après 17 années de développement. ©Virgin Galactic

En prenant part personnellement à un vol à bord du SpaceShipTwo (11 juillet 2021), Richard Branson valide l'offre commerciale de Virgin Galactic et grille la politesse à son concurrent Jeff Bezos (Blue Origin) qui doit s'envoler d'ici quelques jours. L'offre des deux opérateurs se différencie l'une de l'autre, sur le moyen d'atteindre les hautes altitudes, mais aussi sur la frontière visée.

Le 11 juillet 2021 à 16h41 (heure de Paris, 08h41 heure locale ), Richard Branson, fondateur de Virgin Galactic, s’est donc envolé à bord de sa navette suborbitale depuis le Spaceport America (Nouveau-Mexique). Ce vol a constitué le vingt-deuxième test en vol de la VSS Unity, l’exemplaire de l’avion-porteur SpaceShipTwo utilisé ce jour, et le quatrième vol spatial avec équipage de la compagnie. Il a également été le premier à transporter un équipage complet, composé de deux pilotes (Dave Mackay...

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6 commentaires

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  • L’agglomération de Poitiers compte 130.000 habitants, si chacun mettait 2$ on pourrait offrir un rêve à Mme Moncond’huy !
    Et puis avec ce qu’il reste on plante des arbres !

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  • Il est (était ?) possible de compenser son empreinte carbone lorsqu’on voyage en avion de ligne. Ne pourrait-on pas imaginer une compensation volontaire au programme alimentaire mondial des super-riches qui s’offrent un tel « baptême de l’espace » (ou une Ferrari, ou un Yacht, d’ailleurs).
    Le jour même de cette petite balade sortait un rapport alarmant sur la reprise de l’expansion de la faim dans le monde.

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  • Je serai le rabat-joie de service, en posant la question de savoir à quoi rime tout ce cirque, à l’aune d’une période qui va devenir excessivement compliquée en matière économique, humaine, sociologique, géo-politique et j’en oublie.
    Les médias en ont fait les choux gras, sans se poser aucune question.
    Il est bien entendu de bon ton d’envoyer des signaux de « tout va bien dans le meilleur des mondes » à la populasse, mais à un moment donné, il faudra bien s’enlever les peaux de saucisson que beaucoup ont devant les yeux. A commencer par les journalistes, à la fois dans le choix de leurs éditoriaux, mais aussi dans le contenu qui ne doit en aucun cas tromper le lecteur en oubliant des pans de réflexion.
    Par exemple, on peut rappeler que l’avenir d’un commerce pareil (que j’estime complètement débile mais il faut de tout pour faire un monde), tient à la baguette des technos futures permettant d’assurer les engagements mondiaux en matière de protection de notre lieu de résidence interstellaire (une baguette dont on n’a pas encore aujourd’hui trouvé la formule magique de fonctionnement).

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  • L’article est bien écrit, mais pourquoi comparer les vols suborbitaux de VG et BO et la cour des grands avec SpaceX ? Rien à voir… (énergies, techniques, finances, etc.). Et son « retard » indiqué n’est en fait qu’une formidable avance en réalité. Non seulement dans les vols privés Crew-Dragon qui viennent, mais par rapport à Boeing, et les futurs concurrents des vols orbitaux. Bon, on va oublier l’environnement et l’atmosphère, ce n’est pas le sujet de l’article je crois.

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  • par Magallon-Graineau Ernest (Mag)

    Oublié Mike Melvill, premier Astronaute civile qui lui a dépassé les100 Kilomètres à 100,124 Kilomètres le 21 juin 2004 puis 102,91 le29 Septembre 2004, oublié le prix XPRIZE Anzani remporté par la société Scaled Composites de Burt Rutan pour ces vols.Oublié que le dispositif d’empennage repliable a été inventé par Burt Rutan qui à l’époque indiquait que l’idée lui était venue en se rappelant les dispositifs qu’il utilisait pour récupérer les planeurs qu’adolescents ils ne voulait pas perdre (voir Canard Pusher et CSA News Letter de l’époque ) .

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  • Moins de 283 000 pieds !

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