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Les aéroports redécouvrent l’aviation légère

L'aviation électrique n'est plus une utopie. Elle est une réalité. C'est la conviction de l'Union des aéroports français qui encourage les gestionnaires aéroportuaires à porter à l'aviation légère "une attention particulière". © Gil Roy / Aerobuzz.fr

De plus en plus de petits aéroports régionaux français veulent croire aux promesses des start-up qui portent des projets de commuters hybride-électriques. Plus globalement, la communauté aéroportuaire commence à s’intéresser sérieusement à l’électrification de l’aviation légère.

Cette année, lors de son congrès annuel, le 24 novembre 2023, l’Union des Aéroports français et francophones associés (UAF&FA) a réservé une place de choix inhabituelle à l’aviation légère. Jusque dans un passé récent, les petits avions n’étaient pas toujours les bienvenus sur les grands aéroports. Mais depuis qu’ils préfigurent ce que pourrait être l’aviation décarbonée de demain, c’est différent. « Elle sera parmi les premières à pouvoir s’engager dans la décarbonation. », a déclaré Thomas Juin, le...

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Un commentaire

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  • par Gilles Rosenberger

    La convergence des (légitimes) ambitions ne fait pas un marché.
    Et à la fin, c’est lui qui décidera.
    Pour l’instant nous n’avons casiment aucun cas qui nous montreraient que la Nouvelle Aviation (d’autres parlant d’AAM – Advanced Air Mobility) sera moins cher que la « veille aviation ».
    Les centaines de million nécessaires au développement et à la certification de chacun de ces aéronefs aura « beaucoup » de mal à trouver un marché pour les amortir.
    Par ailleurs, il n’y a aucune raison que la fabrication d’un aéronef de cette Nouvelle Aviation une toute petite série soit significativement moins couteuse que celle d’un aéronef de la vieille …
    Du côté de l’énergie et de son stockage, on a sous les yeux la cas des SAF (carburants de substitution au kérosène) : ils coutent Entre 5 et 3 fois plus chers que le kérosène fossile. 3 fois aux USA quand ils sont subventionnés par le gouvernement et 5 fois en Europe. Et les experts les plus crédibles affirment que dans ce coefficient 5, il y a 20% à gagner avec l’industrialisation et les volumes de production. Il reste un coefficient 4 fois plus cher que le kérosène.
    Le vol de désenclavement entre villes moyennes, n’existe pas car trop cher au regard des candidats.
    Un aéronef « plus moderne » mais plus cher (en acquisition et exploitation) peut-il changer ce paradigme ?

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