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Le plan de sauvetage de Corsair approuvé

Depuis le retrait de ses derniers Boeing 747 au printemps 2020, Corsair exploite une flotte 100% Airbus A330. © Corsair

Le tribunal de commerce de Créteil valide la solution de financement collectif à hauteur de 300 millions d’euros qui doit permettre à Corsair de surmonter la crise et d’assurer la pérennité de son activité. 

Un accord avait été signé le 25 novembre 2020 entre Corsair, l’Etat et un consortium d’investisseurs, présentant une solution de financement collectif destiné à permettre à Corsair de poursuivre son activité. Le tribunal de commerce de Créteil a prononcé l’homologation de cet accord le 17 décembre 2020. La finalisation de l’opération devrait intervenir d’ici la fin de l’année précise Corsair. 

« Cet accord, qui prévoit une contribution financière globale de près de 300 millions d’euros, permet à...

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6 commentaires

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  • Bravo à J.B Berger en particulier pour sa diatribe sur Ryanair.

    Répondre
  • Du pognon du contribuable injecté dans une entreprise privée,
    personne ne moufte …?

    Répondre
    • par Pilotaillon, vivant et réaliste

      Paul : pour vous donner une idée de ce que la France génère « comme pognon », comparativement aux autres pays. https://www.weforum.org/agenda/2020/12/how-people-spend-their-time-globally/
      On trouve l’élément clé de la désindustrialisation. Parce que l’on travaille moins et que nos dépenses générales (protection sociale, aides diverses,… comparables voire plus forte en France) pèsent davantage sur l’heure travaillée.
      C’est pour cela que lorsque les entreprises ont le choix, elle font faire le « boulot » là où il coute le juste prix, ou le confie aux robots, qui eux ne regardent pas leurs montre.
      La France, via la pression des « lobbys anti-travail », est généreuse, mais c’est au prix d’un lourd tribut : la dégringolade dans les classements, et la perte globale de richesse, notre pognon collectif qui sert à notre indépendance, sanitaire, économique et sociétale.
      Et le tableau réserve quelques surprises, regardant nos voisins Européens à qui nous voulons donner des leçons.
      Donc le plan de soutien à cette compagnie n’est pas un luxe, ni de l’argent foutu en l’air (sans jeu de mot), il préserve les derniers emplois, le temps qu’on se remette au « boulot »…

      Répondre
      • par Jean Baptiste Berger

        Entiērement d’accord avec cette analyse,
        J’ajouterai que la contribution fiscale de Corsair, depuis que cette compagnie existe, aux dépenses de l’état que vous citez mérite largement ce « petit retour » pour sauver ses emplois.
        C’est bien suite aux mesures gouvernementales (en France comme ailleurs) consécutives à l’incapacité des gouvernants de traiter les malades que le transport aėrien est martyrisé.
        C’est donc bien à la communauté (que ces mesures brutales sont censėes protéger) de sauvegarder les personnes concernées, au même titre que les restaurateurs ou les petits commerces..
        Je ne tiendrais pas le même discours pour Ryanair qui profite, en plus, de la situation pour venir remplacer les compagnies en difficulté et qui pourtant trouve des subventions et des arrangements régionnaux (payés par les Français) grâce à la rapacité et à l’ambition de certains élus .

        Répondre
      • Mais alors pourquoi cette entreprise plutôt qu’une autre ?

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      • … Parce qu’elle en a certainement fait la demande d’une part et que sa demande passe dans les critères d’éligibilités d’autre part (je suppose, n’étant pas dans le secret du dossier).

        Répondre

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