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« Je savoure chaque instant jusqu’à l’extinction des moteurs. »

Avec mon oncle le Commandant Pierre Maréchal le 1er septembre 2006 juste après l'atterrissage à JFK... © Jérôme Bonnard

Par Jérôme Bonnard

Ce premier septembre 2006, je n’ai pas beaucoup dormi la veille tellement j’attendais cette journée avec impatience. Je devais me rendre à New York pour le travail, et j’avais prévenu mon oncle suffisamment longtemps à l’avance pour que ce vol coïncide avec son planning. Nous étions sur la première rotation Air France de la journée vers JFK (départ 8h30).

L’avion était parqué loin du terminal, c’est donc en navette que nous sommes...

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  • Autrefois, avant que les terroristes (palestiniens pour commencer)ne nous en chassent on allait à Orly, le dimanche, sur les terrasses voir les avions et parfois en demandant au chef de cabine de demander au CDB de nous permettre de visiter le cockpit on pouvait même faire un petit arrêt sur le strapontin derrière le CDB surtout si on annonçait être pilote privé.La première fois pour moi ce fut en Caravelle de nuit J’accédai au cockpit dès la mise en palier et j’y suis resté jusqu’à l’arrêt des moteurs à Londres. Eh oui on vivait beaucoup mieux à cette époque bien qu’on a gagné depuis certaines commodités dans la vie courante et en moyens aériens les « low-cost »

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