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Dix mois, et maintenant.

2020 n’est plus, mais, en toute logique, en 2021, la crise va continuer à nous occuper. Si nous voulons trouver la sortie, il ne faudrait pas trop tarder à faire un reset. Dix mois de lamentations, de récriminations, de polémiques, ont été largement suffisants pour comprendre que la fin ne se décrètera pas. Nous avons aussi acquis la certitude, que les pouvoirs publics n’y arriveront pas seuls. Envie de passer à autre chose. Il serait...

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32 commentaires

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  • Bon, et si en 2021 on parlait un peu d’avions ? 🙂

    Répondre
  • Je n’ai pas pour culture la critique systématique mais à un moment trop c’est trop et lire une sorte de consensus sur ces français qui critiquent à tout va devient lourd dans les circonstances actuelles.

    Factuellement parlant nous avons un exécutif qui s’est planté sur les masques, sur les tests, maintenant sur les vaccins, nous sommes à chaque fois la risée du monde entier tout comme sur les classements PISA et autres….

    En prenant des chiffres fiables (John Hopkins, INSEE, OCDE, etc…) on constate facilement que nos résultats dans la guerre contre le virus ne sont pas glorieux: dans le 1er 1/3 des pays européens les plus endeuillés en nombre de morts / million d’habitants et sur le podium pour la plus forte chute économique en rapport du PIB.
    https://coronavirus.politologue.com/million-habitants/

    Alors on peut douter du chiffre des morts Covid, pourtant c’est dans la fourchette de bien d’autres pays au plan mondial (mieux que les USA, pire que le Brésil, un peu plus que la Suède, moins que l’Italie ou l’Espagne, pareil que les Suisses, le double de l’Allemagne quand même, pour situer), pourquoi tous ces pays auraient aussi trafiqué leurs chiffres à la hausse (surtout ceux qui continuent à minimiser la pandémie) ?, et nous, pourquoi maximiser les nôtres et paraître encore plus nuls que nécessaire ?

    Nous avons reçu la même quantité de vaccins que l’Allemagne, ils ont vacciné 200 000 personnes quand nous en revendiquons 500. Le ministre revendique une gestion de « père de famille » et assume cette volonté politique mais dès que l’affaire enfle il se retranche avec le porte-parole du gouvernement derrière « les lenteurs de l’administration » et n’assume plus du tout.
    Le Président fait une fausse colère en déclarant qu’il découvre que rien ne va, qu’il ne savait pas, même si tous les media en parlent depuis 5 jours et que c’est lui qui décide de tout (et donc de la stratégie vaccinale en « père de famille ») dans le secret du conseil de défense….
    Et comme à l’habitude il tend un écran de fumée en créant un comité de 35 citoyens tirés au sort qui vont décider suivre et contrôler la stratégie vaccinale en n’ayant aucune compétence dans les domaines médicaux ou logistique.

    Voilà, ce sont des faits d’actualité abondamment commentés dans la presse et surtout vérifiables, juste pour illustrer qu’à un moment il n’est plus possible de fermer les yeux, se contenter d’à peu près et dire « Bôf, c’est pas si mal, ils font ce qu’ils peuvent ».

    Quand un gamin a des résultats médiocres, ce n’est pas responsable de le laisser mariner dans sa médiocrité.
    Lui crier bêtement dessus et le menacer de l’envoyer en pension, c’est stérile et inutile
    Lui tirer le signal d’alarme est un signe d’intérêt et un acte d’empathie pour l’aider à réagir.

    Répondre
  • Bonjour à tous et meilleure année 2021 !
    10 mois de perdus, dix mois de m… qu’on ne rattrapera pas. Sortirons-nous grandis ? Les évolutions citées l’ont été sous le coup de la précipitation, seront-elles pérennes dans le temps ? Crédibles dans le temps ? On parle de télétravail qui à gagné 5 ans, disons plutôt qu’on nous a imposé ce mode de travail en application immédiate, une sorte de test pratique qui tombe à pic, ce dont rêvaient un tas de « décideurs » patentés, et même encore plus de « travailleurs » accro du modernisme. Les mêmes qui dix mois plus tard se rendent compte qu’ils ne voient plus personne, et qui se rendent compte que quand le travail va repartir pleine bourre, ce n’est pas à distance qu’il pourra se faire… Le télétravail en ressort-il grandi et validé ? Rien n’est moins sûr.
    Alors oui, voilà une crise terrible, montée en épingle par tous, reflet de la société moderne dont les peurs ne sont plus gérées que par la religion ou par les politiques, mais surtout par les médias. Nos « anciens » parlent de situations vécues il y a 50 ans, bien plus grave par leur léthalité, mais mieux gérée par le bon sens et le pragmatisme que par la politique et le sensationnalisme. L’information immédiate nous a fait perdre le temps de la réflexion.
    Il dépend en effet de nous de sortir grandis de cette histoire glauque. 2021 est là. Nouvelle année, on remets les compteurs à zéro et on repart. Le voilà le reset. On regarde autour de soi, on respire, on sourit à son voisin qui maintenant à un visage (mais sous un masque), et on décide de quelle société on veut.
    Bon courage à tous !
    Bons vols !
    Parce que la vie n’est pas derrière un clavier ou une procédure, mais derrière un manche, dans notre main, dans nos sensations.
    Vivons !

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    • par Pilotaillon, vivant et réaliste

      Le télétravail n’est pas apparu hier : dans les années 2000, nous avons vu arriver plusieurs « parapentistes chanceux » s’installer dans la grande région d’Annecy – Genève (proximité d’un accès web, de gares et d’aéroports). Il s’agissait des premiers télé-emplois, souvent au développement logiciel ou au soutien de produits, au sein de multinationales. Ces « veinards » pouvaient s’organiser pour décoller à 13H et retourner au turbin à 17H, ayant dans l’intervalle fait les tour des massifs locaux sous le sourire d’Eole.
      Jean-Mi, justement la vie n’est pas seulement du temps perdu, de transport, de réunions inutiles,… mais une juste adéquation (souhaitée) entre le Job, et le reste qui nous manque à l’instant.
      Tout a été dit sur la létalité, qu’on n’accepte plus, « vu que la société nous doit tout et que l’Homme sait tout faire ».
      Je crains comme vous, un retour à l’identique… à la normale, après l’épisode de la Covid. Nous n’avons pas eu assez la « pétoche » pour changer durablement nos modes de pensées et d’organisation. (Je n’élude pas les situations détruites pour la même cause, mais dont je ne parle pas à cet instant).
      On n’est jamais si débrouillard que lorsque l’on se sent acculé : on passe en mode « solutions », et soudainement tout est plus simple !
      Oui pour la respiration, pour gagner en acuité, en lucidité, en rappelant que nous respirons quelques PPM de CO2 de plus qu’il y a 50 ans.

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      • Voilà encore des propos de gens bien jeunes pour parler de l’année 2000 comme le début du travail professionnel à domicile. Peut-être ne savez-vous pas comment s’est développée l’horlogerie suisse ? Je pense qu’il en fut de même pour l’industrie de la dentelle « faite main ». Pour rester sur l’horlogerie les jurassiens l’hiver ont développé le travail à domicile il y a fort longtemps.

        Répondre
      • par Jean Baptiste Berger

        Non, Pilotaillon,
        Je crois que vous mélangez des notions que Jean Mi a bien cernées.
        Il y a télétravail et travail à domicile ;
        Les dentellières et les horlogers que cite Stanloc pouvaient effectivement éviter de se rendre dans une usine pour réaliser leur ouvrage artisanal, et je suppose que leur activité devait parfois être ponctuée de rencontres professionnelles physiques, ne serait-ce que pour commercialiser leur travail.
        Les mêmes, comme vos « geeks » malins pouvaient ainsi choisir leurs horaires et, dans ce cas, c’est effectivement un avantage pour s’offrir des heures de parapente quand la brise est propice …et qu’il fait jour !
        Mais ce que cette saloperie de virus (ou plutôt la gestion de la maladie) a généré c’est l’obligation, aux horaires choisis par les employeurs, de travailler, souvent en réseau, dans un lieu pas du tout propice (la cuisine, la salle à manger, tout le monde n’a pas les moyens d’une pièce dédiée), sans bouger de sa chaise, un casque sur les oreilles, avec parfois le bruit de la rue (je ne parle pas des pov. petits martyrs qui ne supportent pas le bruit des avions, alors que, bizarrement, les gens qui travaillent dans des bureaux situés au milieu des aéroports, eux, ne les entendent pas…) .
        Et quand l’heure de la fin du « taf » non stop sonne enfin, il reste à peine vingt ou trente minutes pour aller acheter les plats surgelés pour pouvoir préparer « vite fait » les repas du lendemain (et oui, pas de restau. d’entreprise et pas forcément les moyens de se payer un cuistot à domicile pour se nourrir pendant l’heure de pause « fliquée » du midi…) avant le couvre feu si on habite dans l’est de la France….
        Rien à voir avec un choix de vie, et effectivement un isolement assimilable à un emprisonnement à domicile.
        Alors non, je ne crois pas que ce mode de vie soit un progrès, pas plus que ne plus voyager ou ne plus voler parce que la majorité n’ en a pas le gout et qu’elle préfère s’offrir à bon compte une conscience civique en embrayant les leitmotiv à la mode (genre flygskam) ouvrant ainsi un boulevard aux nouveaux dictateurs braillards.
        Qu’une crise comme celle que nous vivons soit une occasion de repenser certaines de nos habitudes, je vous l’accorde.
        Mais pour autant « jeter » tout ce qui était bien (même si améliorable) avant cette crise pour nous jeter stupidement dans un monde totalitaire où les mots « partage », « solidarité », « générosité », « vivre ensemble » etc. n’ont plus aucun sens (imposées, ces notions n’ont aucune valeur) voulu par les gourous religieux ou politiques que cite Jean Mi ….
        Quel recul !
        Je précise que le « télétravail » tel que je le décris n’est pas une vue de l’esprit ; c’est ce que j’ai constaté moi-même en voyant le vivre quelqu’un qui m’est proche et dont l’employeur est pourtant une grande entreprise aux engagements sociaux réputés. (Heureusement pas basée dans l’est).
        Tout ce qu’ont construit nos « anciens » n’est pas si mauvais, ils n’étaient pas si cons que ça!
        Et même si ça mériterait d’être pondéré, les propos de Jean Louis Roba sont loin d’être déplacés.

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      • Il y a eu, et je ne mélange pas :
        – le « télétravail (?) » qui a répondu aux besoins de l’horlogerie que je nommerais plutôt sous traitance manufacturière (+/- freelance aujourd’hui) avec un besoin d’équipement de production réduit, que tout un chacun pouvait faire entrer dans son habitat et
        – le télétravail (surtout intellectuel) actuel, également assez compatible avec une vie à la maison, dont nous parlons sur cette page.
        Ces deux types de jobs sont désormais scindés, car il est devenu impossible de construire un atelier chez soi.
        Une info à chaud sur l’attractivité du télétravail, un peu segmentaire car issue d’un réseau professionnel plutôt haut dans la hiérarchie : https://www.linkedin.com/posts/stephane-nho-525ab2101_si-vous-aviez-le-choix-que-pr%C3%A9f%C3%A9riez-vous-activity-6752974183044591616-Q_M4, qui donne une indication immédiate.

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  • Bel article et merci à Gil Roy d’avoir cette pensée pour les sous-traitants du secteurs.
    Meilleurs voeux

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  • par François Henriot

    Réponse à Gil: oui, oui, oui, oui. Pas beni oui etc. Simplement: marre de la polémiquaille…

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  • Merci Gil, pour ce message auquel je souscris à 100%

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  • Répondre
  • Merci Gil pour ce billet. Dans l’action plutôt que dans les conjectures. Et le meilleur pour 2021.

    Répondre
  • par Pilotaillon, peace'nd love warrior

    Merci pour cette tribune !
    Pour compléter et dans un sens du positif qui implique l’aéro, notre armée parfois, nous pourrions nous rassurer sur la qualité de nos systèmes de santé amont (laboratoires et production) et d’application aval (Hôpitaux et services en contact), qui ont fait le Job devant les railleurs ou manipulateurs (personnalités politiques en campagne et en goguette souvent).
    Pour le cas d’école, j’observe les conséquences des postures de défiances lorsqu’un chroniqueur fait la comparaison avec nos voisins :
    -« Pendant qu’on construit des veccinodrômes outre Rhin, l’administration Française se fend d’un recueil de consignes de 45 pages, pour se protéger des recours contentieux massifs et préserver l’ensemble de la hiérarchie… ».
    Parce que les politiques, et les administrations, sont jugés séance tenante, sur les éventuels manquements à l’organisation, à la déontologie… pour atteinte à la quiétude du quotidien, demandée par une forme de vindicte populaire.
    On n’accepte plus rien d’autre que ce que l’on choisi sur l’instant, et la République (le contrat corrélé au vote) doit à tout instant le garantir.
    J’ai le sentiment que les pilotes sont classés à égalité de privilège avec les politiques, aussi les activités subissent un traitement identique.
    Alors nous voilà conspués pour la gène, par tel riverain lésé ou tel écolo mal informé.
    Mais ce qui est plus grave, de mon point de vue, est la lourdeur des procédures (liées en partie à la défiance) qui est telle qu’elle inhibe toute velléité de progrès, lorsque l’on parle de d’améliorer les flottes, pour développer des solutions à la hauteur des enjeux.
    Je n’hésite pas à faire le parallèle avec la mise en œuvre de la vaccination et les pratiques aéro de loisir. Comme la santé, nous sommes pris en sandwich entre la défiance de nos détracteurs et la nécessité d’arriver à l’heure dans un contexte réglementaire sans cesse plus exigeant.
    Si rien n’est engagé collectivement et avec volontarisme, ce n’est qu’une somme d’embuches qui nous attendent. Comment (quand) souhaitons-nous rationaliser nos matériels, en particulier réduire les consommations et les nuisances sonores ?
    Merci Gil de demander de ranger l’Ego, sans défiance, sans interventions mesurées nous ne pourrons pas avancer.
    Cela n’empêche pas une forme de « vigilance constructive ».
    Mais j’ai bien peur de toucher au Gaulois (révolutionnaires de pacotille) qui sommeille dans un certain nombre d’entre nous, qui confond Bonne Année (bonne résolution) avec Banané (bonne révolution).

    Répondre
  • Bonjour,
    Bien dit, je ne vois rien à redire sinon écouter ces conseils et aller de l’avant,
    Bien cordialement
    Maurice Brand

    Répondre
  • -« Mais on en sortira grandi. C’est incontestable. »:dans le futur, quand on regardera en arrière,oui, on se trouvera plus grands et plus forts que ceux qui auront vécus cette année 2020 de folie.
    -« Quant aux milliards d’euros injectés dans l’industrie aéronautique, »ils servent à « préserver des emplois dans la filière »pour le reste,faut voir…

    Répondre
  • Bonjour à tous,
    Contrairement à Stanloc je pense que la télévision sert de modérateur à toutes les inepties véhiculées sur les réseaux sociaux. Je crois qu’en cette période de mise en cause systématique des decisions gouvernementales elle permet de faire passer des informations qui aident à accepter plus « facilement » les consignes contraignantes (à condition bien sûr de sélectionner et diversifier les sources) . Quant aux propos tenus par Gil, ils sont, comme d’habitude, le reflet de la pensée d’une minorité silencieuse. Encore merci de profiter de votre statut pour faire passer « nos » idées.

    Répondre
  • Au lieu de nous diviser , si nous mettions nos égo en veilleuse……..
    Les pilotes , par leur attitude distante , dixit JB Berger , etc …….. il faudrait peut-être , chacun balayer devant sa porte , avant de critiquer l’autre , parce qu’il vole différemment lui , et aussi surement moins cher ! Le carburant va vous être taxé , quand la brèche sera ouverte , il suffira de traire au pis pour que l’argent coule , vos gros moteurs américains , gloutons au delà du raisonnable vous entrainerons dans la spirale de la fin pour beaucoup . Dommage .

    Répondre
    • par Jean Baptiste Berger

      Vous, on voit que vous avez tout compris au message de Gil !
      Une attaque personnelle à quelqu’un qui ne vous a rien fait !
      Pilotaillon et beaucoup d’autres ont raison, on est encore loin de la société apaisée qu’ils préconisent, et pour les divisions et les égos en veilleuse, effectivement, il faut balayer devant chez soi : montrez-nous donc, parce que là….
      Mon gros moteur Américain glouton vous souhaite quand même une bonne année, 70 ans qu’il tourne sans embêter grand monde, si chacun pouvait en dire autant !
      Vous avez cependant raison sur un point, il faut accepter l’autre qui vole différemment, je n’ai jamais cessé de le dire, seuls ceux qui ne comprennent pas le Français auront compris autre chose, les seuls qui méritent mon mépris sont ceux qui veulent interdire aux autres de voler, et ceux-là feraient mieux d’aller s’épancher sur un site qui ne défend pas l’aviation.
      Tous mes voeux de bonheur raisonnable.
      JBB

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  • Chiche ! Je propose qu’on supprime les visites médicales pour tous les pilotes privés, car comment faire confiance au corps médical qui se déchire devant un virus ? Comment faire confiance à des médecins d’Etat qui sont capables de dire l’inverse quelques jours après leurs dire initiaux ?
    Je propose qu’on revoie la réglementation concernant les ULM: suppression de la limite de puissance et favoriser toutes les recherches technologiques concernant les motorisations électriques.
    Je propose qu’on revoie l’accessibilité à l’IFR: simplification de l’épreuve théorique et faciliter son accès dès le brevet. Suppression de la limite des 7 ans pour renouveler sa qualification. Création d’une qualification IFR pour les Ulms.
    Accessibilité des Ulms sur tous les terrains de France, avec suppression de demande d’autorisation.
    Création des espaces en VFR contrôlés de classe B, ce qu’a toujours refusé la DGAC.
    Création d’une structure spécialisée dans l’élaboration d’une réglementation adaptée à de futurs appareils hybrides telles que les voitures volantes de façon à ce que ces futurs appareils puissent décoller et atterrir sur une route, en définissant par exemple une norme liée à la présence d’obstacles en prenant comme exemple ce qui se pratique déjà en Alaska.

    Et j’en ai d’autres des idées…

    Répondre
  • Bonjour
    Tout à fait OK avec vous.
    Mais il y a les  » réseaux sociaux », ces confessionnaux publics, exutoires de toutes les peurs et les haines, bien à l abri derrière son clavier, avec le pardon suprême : le nombre de like. …
    Et puis il y a : « l etat »
    Ce monstre sans tête que l on accuse de tous les maux, mais qu on appelle au moindre bobo!!!
    Et puis il y a : les patrons
    Ces égoïstes esclavagistes profiteurs qu on verraient bien brûler en place publique, sauf que on est prêt à tout quand ça va mal, même leurs laver les pieds pour garder son job!!!
    En fait, il y a l’égoïsme inné de l’homme, cet animal qui a oublié les conditions de vie des autres espèces !

    Répondre
    • Ce fut l’un des derniers coups de griffe distribués par Umberto Eco, peu avant sa mort. En juin 2015, l’auteur du Nom de la rose se lâchait à propos des réseaux sociaux lors d’une rencontre avec la presse, à Turin : « Les réseaux sociaux donnent la parole à des légions d’idiots qui ne parlaient auparavant que dans les bars après un verre de vin, sans nuire à la communauté. Ils étaient immédiatement réduits au silence alors qu’ils ont désormais le même droit à la parole qu’un lauréat du prix Nobel. C’est l’invasion des imbéciles. »

      Répondre
  • Si seulement!!! Mais hélas, l’ego a ses raisons que la raisons (et la vôtre brille dans cet article) ne connaît pas.
    Amitiés et mes vœux les plus sincères pour vous et Aerobuzz.

    Répondre
  • Comme souvent Gil parle d’or, son propos frappé du coin du bon sens est sûrement partagé par la grande majorité devenue silencieuse face à l’émergence d’une minorité active et lâchement anonyme sur les réseaux dits sociaux. La perspective qui occupe les batteurs d’estrade (complesament invités par des média avides de buzz ) n’est pas la reconstruction d’un beau pays éprouvé, c’est l’élection qui leur permettrait , sur un mal entendu) de tâter du oiuvoir6et de ses attributs.
    La démocratie est le pire système de gestion d’un pays à l’exclusion de tous les autres dit l’adage, il faut avouer que la prise de pouvoir des minoritaires aboyeurs finit par en faire douter…
    Vos gueules!! Aidez le pays, servez le et non l’inverse. Kennedy: ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande toi ce que tu peux faire pour lui.

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  • Moi à cette occasion je m’interroge sur le rôle des « médias » en général et de la TV en particulier.
    Pour moi il est évident que 50 ans en arrière la même pandémie n’aurait pas eu les mêmes effets sur la population en moins désastreux bien sûr.

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    • Belle synthèse : inspirez, expirez , construisez !
      Bonne année Gil Roy !

      Répondre
    • Bonjour
      La synthèse exprimée par Gil me conforte dans des propos que j’ai déjà évoqués ici. En ce qui concerne les médias audiovisuels, ont installé les populations dans le lavage de cerveau. La télé-réalité bas son plein. Les YA QU’A FAUT QU’ON fleurissent. Mais rien n’avance.
      Pour la santé au début de la crise, le Ministre s’est heurté avec ses hauts fonctionnaires indéracinables. Les gouvernements passent; pas eux !
      Pour la justice indépendante elle se venge sur son Ministre de tutelle. Elle rend à tour de bras des jugements (en décalage sur les faits reprochés) par des rappels à la Loi. La banlieue se gausse.
      A par cela tout va très bien Madame la Marquise
      Cordialement
      Michel BOUR

      Répondre
    • En 1969, la grippe a fait 31.000 morts en France. J’ai connu cette époque et personne ne s’est affolé. On regrettait ces décès mais il n’y a pas eu de panique et de paranoïa orchestrée par les media et le gouvernement. La vie a continué tout en respectant des règles sanitaires basiques (sans confinement, couvre feu et autres joyeusetés). Combien de morts en France en 2020? De VRAIS décès causés par le corona et non de disparition ‘imputée’ au corona comme celle de Valéry Giscard d’Estaing décédé en réalité de vieillesse à 94 ans? Quel est le taux de léthalité de cette épidémie? On avance 2 ou 3 %. Vrai? Faux? Que ferons-nous lorsque un migrant ou un voyageur débarquera en Europe avec le virus d’ebola (80% de décès)? On ira se cacher dans des grottes? Dans les égoûts? Cette hystérie, cinquante ans après la sévère grippe de Honk Kong, est disproportionnée et est un indicateur de la lâcheté et de la faiblesse de notre civilisation consumériste.

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      • Ah, ça fait du bien des témoignages et une comparaison avec ce passé !

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      • Ouiiii ! Acceptons avec allégresse de continuer à mourir massivement alors que l’on peut diminuer les risques. Bon, ce doit être le point de vue de quelqu’un qui en a marre de la tournure que prend la société humaine. Heureusement, ce n’est pas le cas de tout le monde 🙂

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