Accueil » Transport Aérien » Le crash de l’ATR 72-500 de Yeti Airlines ou la découverte fatale d’un nouvel aéroport

Le crash de l’ATR 72-500 de Yeti Airlines ou la découverte fatale d’un nouvel aéroport

Une seconde et demie avant le crash : l’ATR 72-500 de Yeti Airlines est à 30 mètres au-dessus du sol, le nez relevé et l’inclinaison maximale. Le 15 janvier 2023, l’accident a quasiment été vécu en direct sur les réseaux sociaux, avec un décalage de seulement quelques minutes. © Nepal AAIC

Le 15 janvier 2023, un ATR72-500 (9N-ANC) exploité par la compagnie népalaise Yeti Airlines effectue un vol régulier entre l'aéroport international Tribhuvan de Katmandou et l'aéroport international de Pokhara. L’avion s’est écrasé, lors du dernier virage. Les 68 passagers et 4 membres d'équipage sont décédés.

C’était le troisième secteur de la journée pour l’équipage qui effectuait des vols navettes entre Katmandou et Pokhara. En approche finale de la piste 12 de l’aéroport de Pokhara, l’ATR 72-500 de Yeti Airlines a subi une perte de contrôle en vol et a percuté le sol entre l’ancien aéroport domestique de Pokhara et le nouvel aéroport international de Pokhara. Il n’y a eu aucun survivant à bord (72 morts). Le crash a été filmé par...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Un commentaire

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Hélas mon cher Gilles c’est pas la fatigue ou la surcharge qui ont conduit le captain instructeur a vouloir faire une jolie démonstration d’approche expédiée sous forte inclinaison et pente. Nous avons tous de telles envies. Surtout avec ce magnifique avion. Mais l’erreur fatale non identifiée mais détectée est la cause directe et finale de l’accident. Le manque de puissance annoncé par la PF n’a pas dans cette phase accélérée permis au PM instructeur d’identifier son erreur fatale et de la corriger. Ni a la PF en lâcher sur ce terrain. Quelques amis spécialistes de l’ATR me disaient que le double drapeau dans cette phase était impossible. Hélas Si.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.