Accueil » Aviation Générale » Encore une année sombre pour la sécurité en aviation générale

Encore une année sombre pour la sécurité en aviation générale

accident pipistrel virus albert BEA

Accident d'un ULM Pipistrel Virus SW21 survenu le 9 mai 2021 à Albert-Bray. © BEA

Dans son rapport annuel, le BEA (Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile) recense, pour l’année 2021, 36 accidents mortels ayant entrainé la mort de 57 personnes. Si le nombre de ces accidents est en hausse (+6 soit +20%), celui des décès est stable (+2). L’année 2021 s’inscrit dans une relative continuité par rapport à 2020.

« L’activité de l’aviation générale en France semble se maintenir », note Rémi Jouty, directeur du BEA. « Cela peut sans doute s’expliquer, d’une part, par le fait que les périodes de confinement n’ont pas touché les périodes de plus forte activité, et, d’autre part, par le fait que les règles sanitaires n’ont pas éteint le désir de voler des pratiquants de loisir. Il en résulte que les nombres d’accidents et de victimes sont comparables à ceux des années...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Un commentaire

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Je note que pratiquement tous ces accidents mortels sont dûs à une perte de contrôle en vol donc à une lacune de pilotage.
    Au risque de passer pour un vieux… (ce que j’assume parfaitement), la méthodes française de pilotage que j’ai apprise lors de mes stages instructeurs (1966, 1969 et 1970) portait essentiellement sur le pilotage de base, les pannes moteur…
    A l’époque, on pilotait. Maintenant on gère une trajectoire.
    Il y a surement un sujet de réflexion pour nos autorités françaises et européennes.

    A votre disposition pour développer plus complètement ce sujet.

    Amicalement.

    C. RAVEL

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.