Accueil » Aviation Générale » SafeSky le transpondeur pour smartphone

SafeSky le transpondeur pour smartphone

"Voir, être vu, et éviter". L'application transpondeur mobile SafeSky disponible à partir du 28 mars 2021 pourrait séduire de nombreux pilotes... du parapentiste au pilote de chasse © SafeSky

L’application mobile d’information de trafic « Safesky » est le fruit d’une collaboration franco-belge. Elle est gratuite et accessible à tous les pilotes de tous types d’aéronefs. A l’instar d’un transpondeur, cette solution permet de partager sa position en vol, mais aussi de voir celles des autres…

Sur le papier, le principe de SafeSky est simple et gratuit. Le téléphone (ou la tablette) va agir comme un transpondeur et transmettre à des serveurs (grâce au réseau Internet à travers un protocole optimisé) la position d’un aéronef. En retour, il informe son pilote d’un trafic potentiellement dangereux et conflictuel avec sa trajectoire. Dans la pratique, l’interface (que Aerobuzz.fr a pu tester) est visuellement tout aussi simple, dans le même esprit que la célèbre plateforme « Flightradar24 » avec les trafics...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

27 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Safesky n a rien de nouveau. déjà en 2016 j’ai travaillé au développement du même type d’application : airtrackpro
    Il y a énormément de contraintes techniques liée à l’altitude le passage de cellule à cellule la consommation de la batterie et j’en passe…

    Répondre
  • Les téléphones portables ne captent plus de signal au-delà d’environ 4/6000 ft. Dans ces conditions, le fonctionnement de cette application reste limitée aux aéronefs très légers volants bas. Et comme vous êtes plusieurs à l’évoquer, la multiplication des systèmes non-compatibles entre eux rend la protection très aléatoire. Pour être vraiment utile et efficace, un système anti collision doit être fiable, ça veut dire que tous les appareils volants doivent en être équipés. Sinon, soit on doit voler comme si l’on avait pas l’équipement, soit on s’habitue à ses alarmes et on finit par s’y fier en oubliant les autres précautions. Il faudrait au moins une norme de signal universelle et une obligation d’émission.

    Répondre
  • Il existe une autre solution, qui me parait plus appropriée parce que qu’elle s’insère dans la nouvelle norme ASDB : Le SkyEcho2 dont l’usage est encouragé en Australie et carrément subventionné au Royaume Unis. Un vrai transpondeur ADSB out (sur 1090MHz) et « in » PORTATIF, non certifié, fonctionnant sur piles et susceptible d’être utilisé par tout avion/ulm/parapente motorisé/planeur etc…
    L’objectif de ce transpondeur portatif n’est pas d’être vu par les contrôleur (il est codé pour ne pas apparaitre sur les écrans radar). Par contre, il permet de rendre visible tout utilisateur, par tous les autres usagers pourvus d’un ADSB in. Dans les deux pays où son usage est encouragé, il peut être utilisé conjointement à un transpondeur Mode C mais absolument rien n’empêche son utilisation comme seul transpondeur hors obligation légale d’avoir un transpondeur certifié. Encore une fois, l’objectif est de rendre visible (et de pouvoir voir les autres). Avec la puissance d’émission, on parle d’une portée d’environ 40 milles nautiques. Ça permet d’avoir une vision du trafic longtemps d’avance. On est plus du tout dans une logique de dernière minute « à la TCAS » ou « à la FLARM ».

    Répondre
  • Très bel outil.
    Même s’il n’est pas infaillible, tout ce qui peut concourir à la sécurité aériennes est bon à prendre.
    Cependant, rien ne remplacera jamais le sérieux des gens.
    Ex: il y a deux mois, trois paramoteurs traversaient « gentiment » la R95 (zone du Cannet des Maures) en secondes moitié d’après-midi sans le moindre contact.
    Un Fennec et un NH 90 se trouvaient sur la même trajectoire.
    Dont act !

    Répondre
  • bonjour à tous,
    enfin une appli qui essaye de regrouper tout le monde….je viens d’installer un mode S sur notre avion, 1700 euros, BIM…..si je veux le rendre ADSB-OUT je dois encore investir 1500 euros de computer et de GPS certifié, RE-BIM.
    + un FLARM pour voir les planeurs? Non merci.
    Espérons que ces développeurs reçoivent les signaux des radars secondaires de la DGAC, on pourra toujours alors penser à une antenne extérieure 4G sur l’avion de façon à avoir un signal plus propre à bord. A quand une appli commune avec SDVFR ou les autres applis de Nav?
    Il y a eu assez de morts suite à des collisions en vol. Soyons plus positifs.

    Répondre
    • Votre message démontre bien le problème : de multiples systèmes tous plus onéreux les uns que les autres, et incompatibles entre-eux.
      C’est donc mort d’origine.
      Le gars en ULM ou planeur ancien qui veut être vu et éventuellement voir autour de lui en a pour plus cher de matériel électronique à bord que le prix de la machine volante elle-même !

      Répondre
      • Nous sommes d’accord. Peut-être que la solution viendra avec la mise en service de starlink. Chaque appareil pourra être relié avec une connexion internet haut débit, en tirant avantage d’avoir une vue vers le ciel totalement dégagée.

        Répondre
      • Y’a pas la fibre dans un ASK-13 ! Même pas l’ADSL… Mouarf !

        Répondre
  • @STANLOC
    Ce que j’ai fait ces dernières années pour contribuer à la sécurité?

    Pour commencer j’ai installé les premières versions de FLARM aussi bien dans mon hélico que dans mon avion léger, contribuant dès lors activement à la sécurité globale, puis en les faisant évoluer au fil des améliorations.

    Secundo j’ai pu, à travers ces équipements, communiquer à d’autres l’intérêt incontournable de cette solution largement répandue, sauf en France dirait-on, pourtant mes appareils évoluent sur France et y sont basés.
    A cet effet je ne compte plus le nombre de vols effectués dans l’objectif de faire des « démos » à titre gracieux bien entendu car non rémunérées, tout en n’ayant aucun intérêts relatifs avec les entités commercialisant les différents systèmes et agrégats FLARM.
    L’assistance gracieuse à l’installation de pas moins de 6 systèmes dans divers aéronefs (hélicos et avions) devraient aussi constituer une contribution active et positive à la sécurité globale.

    Mon agacement à travers mes commentaire s’explique par l’évident constat que « tout le monde » veut y aller de sa petite application bien à soi sur son téléphone, incapable d’inter communiquer avec les autres systèmes déjà en place.

    Génial de prétendre augmenter la sécurité en dispersant les informations (traffics et trajectoires de vols) à travers autant de systèmes hétéroclites.

    D’accord pour que l’aviation légère s’ouvre au plus grand nombre, par contre pas d’accord de céder pour autant au sacro-saint du « pas cher » et de céder béatement à des systèmes contribuant à réduire la sécurité de ceux qui s’en préoccupent réellement à travers des équipements adéquats.

    Que ces concepteurs de solutions logicielles adaptent spontanément leurs produits aux solutions existantes et déjà répandues au lieu de s’isoler et proposer des systèmes prétendument destinés à augmenter la sécurité des vols.

    Les cockpits ressemblant à des toiles d’araignées constituent déjà une réalité courante et incontestablement dangereuse pour de multiples motifs.

    Alors après, que souhaites-t ‘on?
    Que les législateurs mettent leur nez dans nos affaires à ce niveau aussi, contribuant alors au passage à largement faire exploser les coûts d’équipements viables, fiables et répandus actuellement en usage?

    Que penser de plus lorsque l’on lit que supposément des pilotes de F-16 se baladeraient avec un tel système à bord de leurs taxis?
    Avez-vous déjà posé votre séant dans un cockpit de chasseur?
    Où pensez-vous qu’un tel équipement puisse trouver sa place, sur la verrière avec une ventouse de chez Brico-truc et le fil sur l’allume-cigares???
    Voler en suivi en terrain aux vitesses usuellement exploitées ne permettent à priori pas d’éviter un objet indétecté par les systèmes de bord, alors une solution fonctionnant sur smartphone, ça tient du gag, excusez-moi!

    Alors de grâce, évitez d’user d’un tel ton dans vos commentaires stériles, ils ne contribuent nullement au développement de la discussion initialement entamée.
    J’estime avoir contribué plus qu’UN PEU à la sécurité de tous, je vous retourne alors votre question, qu’en est-il de votre contribution à ce niveau?

    Bien à vous

    Cyril

    Répondre
    • Bonjour,
      premièrement, il est évident que le niveau de « sécurité collective » est par design bien superieur avec les systèmes anti abordage certifiés ADS-B Out/ TCAS/ FLARM.
      Le soucis c’est que tout cela a un prix et tourne chacun dans son silo, ce qui donne également un faux sentiment de sécurité car tout le monde pense avoir l’équipement adéquat dans son aéronef (et que donc les autres ont fait les même choix) alors qu’en fait il n’y a que très peut d’équipement capable d’être compatible avec l’ensemble des normes ou si ils existent il sont extrêmement chers et inabordable dans le cadre de l’aviation de loisir « standard »
      .
      A mon humble avis, et même si je vous rejoint sur le fait qu’il faille éviter de multiplier les « silos » pour éviter d’augmenter encore le faux sentiment de sécurité de chacun dans sa bulle technologique, un système portable capable de télécharger en temps réel (si le réseau cellulaire est disponible) , »synthétiser » et d’afficher les différents signaux émis par TOUS les autres sur un simple téléphone, augmente la sécurité de ceux qui n’ont AUCUN autre système a bord mais ne dégrade pas la sécurité des autres car de toute façon l’utilisateur de ce système n’avais pas d’autres système a bord et était donc uniquement détectable par la veille visuelle classique.

      Pour moi c’est mieux que rien (c’est mieux que la veille visuelle seule pour faire simple) pour les aéronefs équipés d’aucun système anti abordage mais c’est en aucun cas un « futur » remplaçant de ces systèmes .

      Le probleme principal pour moi et que tout ce système (safesky) est basé sur la transmission data du téléphone cellulaire qui n’a pas était conçu ni déployer par les opérateurs pour permettre la couverture et le transfert de données vers le ciel, et encore moins si l’on prend en compte le cas des vitesses élevés( les normes GSM/3G/4G n’est pas prévu pour fonctionner au dessus de 130/150 kn).
      Il faut donc dans le système une annonce claire de la « fiabilité » de réception des données et un affichage clair quand celui ci n’est plus « mise a jour » par le réseau data.

      La partie  » downlink » donc les infos de cap/alt/vitesse et localisation de l’aéronef transmise du téléphone vers le service safesky est pour moi anecdotique (hors flotte constituée) car n’étant utilisable que par les autres utilisateurs de safesky.

      Pour moi une « avancée » dans la partie passive du système serait l’ajout d’un accessoire a brancher sur son téléphone (sans empêcher la recharge) comme une petite dongle récepteur SDR (software-defined radio) avec antenne adéquate capable pour un prix abordable (les protocoles de décodage radio existe déjà tous et sont dans le domaine public) d’écouter les émetteurs ADS-B Out/ TCAS/ FLARM des « autres » dans le ciel autour de son avion, de les afficher mais aussi de les synthétiser/corréler avec les données fournis par le réseau GSM et même de les partager avec les autres utilisateurs safesky (si réception GSM) ce qui aurait comme gros avantage de permettre son utilisation tout le temps et non uniquement sous couverture GSM plus qu’aléatoire dans des zones montagneuse, maritime et de faible densité démographique qui reste quoi que l’on en dise des zone de prédilection de l’aviation de loisir (mais pas des opérateurs de téléphonie mobile).

      Al
      my 0.02€

      Répondre
    • Bonjour,
      Et le transpondeur, alors, ça sert à quoi ? Si tout aéronef en avait, le SIV gèrerait les conflits potentiels. C’est quand même bien son boulot !
      Pourquoi mettre encore un « truc » sur lequel on aura le nez collé sans regarder dehors ?

      Répondre
  • par MORELLE Cédric

    Pour faire du Live Tracking vous pouvez aussi utiliser SportsTrackLive qui est une application développée depuis de nombreuses années, et qui dénombre beaucoup de pilotes dans sa communauté. L’avantage étant d’avoir effectivement une vision transverse des personnes présentes dans un rayon d’action de 50km (réglable), et surtout de permettre aux personnes au sol de voir évoluer l’aéronef avec une représentation 3D autrement plus pertinente qu’une carte 2D à plat.

    Répondre
  • je comprends mal l’animosité, quand ce n’est pas carrément de l’agressivité crasse de la part de certains…surtout que je doute que ceux-ci aient beaucoup contribué à la sécurité des autres à leur façon peu altruiste de s’exprimer!
    Je me sers de mon portable souvent dans les basses couches pour avoir des metar ou autres infos, la connexion n’est pas toujours bonne, mais je trouve sympa de mettre à disposition une appli gratuite qui ne peut qu’ameliorer la sécurité. Je l’ai donc chargée et testée, et aussi payé mon obole pour participer à mon niveau.
    Encore faut-il qu’elle soit chargée par tout le monde pour que ça marche, et pour cela, il serait plus efficace d’en faire la promotion que le dénigrement…surtout quand on ne l’a jamais encore testé soi-même.

    Répondre
  • Malheureusement pas disponible pour tous les Androids, p.e. Huawei P10 ed. 2018.

    Répondre
  • Belle initiative !
    Ce serait bien sympathique d’avoir le choix du symbole, genre paramoteur, montgolfière, pendulaire ou ou gyro en plus des petits avions 3 axes dans l’appli.
    Merci d’avance et bons vols à tous

    Répondre
  • Toute initiative contribuant à des vols plus sûrs se doit d’être abordée positivement.

    Toutefois…la multiplication des systèmes et leurs incapacités de communiquer entre-eux (déjà le cas entre TICAS et FLARM me semble-t-il), ne contribuent finalement qu’à l’introduction de risques supplémentaires en pratique.

    Ajouter à cela des fils et écrans mobiles dans tous les sens en sus de la documentation officielle, les cockpits « toile d’araignée » ont de beaux jours devant eux.

    De là a croire que des pilotes de chasse s’en servent à bord de leur F-16…là on frise le ridicule, dans la mesure où, je l’espère pour tous, ces engins sont exploités à basse altitude au sein d’espaces dédiés et de facto dépourvus de traffics exogènes!

    Après je peux me tromper….

    Cyril

    Répondre
    • C’est déjà bien si ça sert pour soi-même.
      Bons vols

      Répondre
      • L’idée derrière aussi bien les TCAS dépendant, eux, de critères impératifs dictés par les régulateurs internationaux, consiste à établir un réseau communautaire au sens de l’intercommunication.

        Donc plus on introduit de systèmes incapables de dialoguer entre eux, plus on s’éloigne de la solution et donc de la sécurité.
        Ceux équipés du FLARM se sentiront en sécurité, ceux équipés des systèmes proposés par X ou Y également, tout en « ignorant » que les différentes communautés sont incapables de se voir…

        Quant à l’approche consistant à considérer qu’une solution puisse se limiter à « c’est déjà bien si ça sert pour soi-même » démontre bien le peu de cas porté aux autres par celui qui se retranche derrière un tel égoïsme et les conséquences que cela peut avoir!

        Dans ce cas mieux vaut rester au sol, et s’abstenir de conduire autre choses que ses pieds bien entendu!

        Répondre
      • Cyril Lambliel a écrit :
        « Quant à l’approche consistant à considérer qu’une solution puisse se limiter à « c’est déjà bien si ça sert pour soi-même » démontre bien le peu de cas porté aux autres par celui qui se retranche derrière un tel égoïsme et les conséquences que cela peut avoir! »

        Et vous qu’avez-vous fait pour les AUTRES ? Parlez nous en .
        C’est effarant cette proportion à toujours dénigrer la moindre petite chose par les lecteurs de ces rubriques.
        Faire un PEU pour tous c’est beaucoup mieux que de ne RIEN faire du tout

        Répondre
    • Bonjour, non les avions de chasse en vol à basse altitude évoluent la plupart du temps en espace aérien non contrôlé et en conditions de vol à vue (donc la règle voir et éviter s’applique). En France le réseau RTBA sert essentiellement pour les entraînement au suivi de terrain, éventuellement dans les nuages, mais c (dans ce cas pas de voir et éviter car espace aérien réservé).

      Vous pouvez donc imaginer que lorsque l’on vole à vue à 450 kts et 500 ft sol la prévention des abordages avec les avions légers, planeurs et parapentistes est un vrai sujet. Je n’ose à peine imaginer la situation en Belgique où l’espace aérien est très restreint.

      Les difficultés d’emploi sur F-16 viendraient plutôt de l’ergonomie (pas facile d’inclure une tablette dans le circuit visuel, à moins d’un écran miniature sur le dessus de la planche de bord ?) et de l’instabilité de la connexion par smartphone. Mais j’imagine que des solutions techniques ont été trouvées.

      Répondre
  • J’ai testé l’application avec mon ULM.
    Cela marchait bien au sol je voyais beaucoup d’aéronefs dont le mien, mais une fois décollé plus rien d’autre que le mien !!!???

    Répondre
  • Ce n’est ni un poisson d’avril, ni une très mauvaise idée !
    Cette appli est bluffante. Nous l’avons testée ce mardi 30 mars à 2 ULM lors d’une sortie commune sur 5 heures de vol…. C’est d’une efficacité exceptionnelle! Je vais désormais partager l’écran de ma tablette en 2 pour y voir mon programme de guidage sur 2/3 d’écran et SafeSky sur 1/3 d’écran pour le suivi des amis qui volent avec moi et les alertes de danger de collision…
    A noter que l’appli est géniale aussi au sol : elle permet de voir l’encombrement du ciel en temps réel et de suivre les amis qui volent, y compris à l’autre bout de la France !
    C’est une appli à télécharger sans modération !

    Répondre
  • par Braconnier Cédric

    Bonjour, je me présente, Mr Braconnier Cédric, le paramotoriste sur ma photo avec le Savannah en arrière plan…😉

    Répondre
  • Les protocoles du gsm sont conçus pour ne rattraper l’effet Doppler que jusqu’à 250km/.h, du moins, par rapport à la radiale de l’antenne utilisée (ce qui permet de couvrir les tgv en écartant les antennes loin des voies). Je ne vois pas comment ça peut marcher dans un avion de chasse
    Par ailleurs la portée des émetteurs étant considérablement augmentée par l’altitude, et les protocoles radios étant basés sur la réutilisation des mêmes fréquences dans des cellules plus lointaines , se servir d’un mobile en vol est susceptible de fortement perturber le fonctionnement du réseau et par ailleurs interdit par la licence implicite d’émetteur radio qui va avec votre abonnement.
    Alors soit c’est encore un poisson, soit c’est une très mauvaise bonne idée mise en avant par des gens qui ne comprennent pas ce qu’ils font

    Répondre
    • Pourtant ça marche
      Plus de 50 heures de vol avec en qualité de bêta testeur
      Que du positif, ce n’empêche pas d’avoir les yeux dehors mais c est un bon outil pour la sécurité des vols
      Acceptons le progrès sans renier nos valeurs et les basics

      Répondre
    • par Hugues CHOMEAUX

      Peut-être avez-vous raison, mais la façon péremptoire de présenter vos certitudes me fait douter.

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.