Le fonctionnement des radio-altimètres, utilisés entre autres par l'aviation commerciale et les hélicoptères, pourrait être impacté par l'élargissement de la bande de fréquences allouées à la 5G aux États-Unis. © Garmin
La 5G représente l’opportunité de développer les offres de services en transmettant de larges quantités de données de manière quasi instantanée. L’aérien devrait également en profiter, depuis l’aviation commerciale jusqu’à l’aviation légère au travers d’applications améliorant la sécurité, en complément par exemple de l’ADS-B.
Malgré les avancées notoires que la 5G apporte en termes de connectivité et de débit, un groupement d’industriels et d’associations, dont l’IATA, la GAMA, Airbus, Garmin et Honeywell, s’est formé pour exhorter la Commission fédérale des communications...
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Il semble donc que le problème soit lié, pour partie, à la sélectivité des recepteurs des radio sondes, utilisés dans la chaîne avionique du PA/DV. Ces équipements anciens, 50 ans, ont été élaborés avec des contraintes de sélectivité moins importantes que nécessaire de nos jours où l’embouteillage des bandes hertziennes devient critique. Pour les radio sondes, il faut donc des normes adaptées plus sévères et des puissances de rayonnement des antennes 5G raisonnables. On va y arriver … Au fait, il y en a trois par avion, une pour chaque chaîne PA/DV !
Ce qui est fou, c’est que cette information relativement importante, a été passablement ignorée par les médias.