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Jack Krine face caméra

Le célèbre aviateur s’associe à la Fédération Française d’ULM pour partager ses conseils en vidéo.

L’ancien pilote de chasse qualifié sur une quarantaine d’avions explique face caméra et sur un ton bien à lui comment devenir expert de sa machine. Cette série de films courts est produite par la FFPLUM (et réalisée par Jérôme Bonnard). Dès le premier épisode, Jack Krine pose la base même du pilotage en sécurité : « la vitesse, c’est la vie ! ». Il abordera plus tard toutes les étapes d’un vol, la gestion d’un incident par l’instinct et la pédagogie du geste.

 

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9 commentaires

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  • par Bonnin Christian

    Je suis presque désolé de ces commentaires mais oui ça existe un avion sur tranche dans une turbulence de sillage :ça s’est produit en solo vol de nuit sur fouga,fin de branche vent arrière, je suivais de trop près le fouga devant moi et quand il a amorcé sa ptu pour se poser je me suis retrouvé le bidon droit planté vers le sol comme saisi par une main géante et pas suffisamment de force pour ramener la machine, j’ai donc choisi de piquer vers le sol en mettant plein gaz pour retrouver de l’efficacité aux commandes tout en négociant une ptu qui devait m’amener à l’atterrissage, donc suffisamment serrée pour passer (le circuit étant à 1500 pieds)et pas trop pour ne pas décrocher, je n’ai pas pris une seconde pour regarder le badin et quand je me suis trouvé en position d’atterrir je pensais être loin des 110kts de la vitesse à afficher, or,surprise j’étais à 110 et n’avais plus qu’à réduire ;la vigie m’a demandé si j’avais eu un problème, j’ai répondu par la négative car il vaut mieux être transparent quand on est élève pilote

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  • Un peu crispant non ?

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  • Et vive Jack, et Cloclo aussi …

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  • par Claudine Clostermann

    Que du bonheur de savoir qu’un des plus prestigieux manœuvriers de l’aéronautique explique à des pilotes que les palonniers ne sont pas des « repose pieds », qu’un avion se pilote et qu’il faut faire corps avec lui, comme Jack sait si bien le faire.
    Je reboucle juste sur l’article AEROBUZZ concernant « Airbus, redonner le gout du pilotage manuel » car, s’il y avait davantage de manœuvriers plus qu’excellents comme Jack dans les cockpits….ce serait bien.
    Seulement une toute petite histoire que m’a relatée Pierre CLOSTERMANN: Il arrive à ORLY sur un avion de ligne, il était installé à coté du hublot, et soudain en courte finale après l’outer, l’avion se met sur la tranche, incliné à 180°….WAKE TURBULENCES 3NM derrière un gros porteur…normalement c’est 5 NM ! Il m’a dit: J’ai pensé que c’était la fin de ma vie mais le pilote a récupéré et tout s’est passé normalement » . A l’issue du vol, il a souhaité parler au pilote et il lui a seulement demandé: « vous êtes un ancien chasseur », celui-ci a répondu par l’affirmative. »OK, je comprends pourquoi nous sommes vivants »
    Jack fait partie de ces pilotes qui, comme beaucoup d’autres, sentent l’avion dans leurs tripes et je ne puis que le féliciter pleinement dans son action.

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    • par Philippe MOREAU

      Waouh! Incliné à 180 °. Vol dos en quelque sorte…;-)

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    • « Sur la tranche incliné à 180 degré » y en a qui vont se faire des noeuds dans la tête ???

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      • C’est exactement ça, j’avais beau chercher je ne voyais pas de quelle inclinaison il voulait parler…..
        180° pour moi c’est à plat, sur le dos mais à plat, pas incliné…..

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    • Puisque seuls les anciens chasseurs peuvent être de bons manoeuvriers (et puisqu’ils le sont tous forcément)…
      Je suis le seul que ces clichés idiots et basés sur une mièvre idôlatrie fatigue ?

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  • Alors Jacques, tu as laissé ton cor de chasse à Chinguetti ou à Bogande ?

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