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L’ONERA et SOPEMEA se positionnent sur le marché de l’analyse modale des avions

Cet accord de coopération entre l’ONERA et SOPEMEA va apporter aux industriels de l’aéronautique et de la défense la réalisation de prestations de haute technicité et de très haute qualité, promettent les deux partenaires. © IABG

L’ONERA et SOPEMEA mettent en place un accord de partenariat visant à mettre en synergie leur expertise en analyse modale afin de répondre aux besoins des industriels du domaine aéronautique. Les deux partenaires entendent occuper une place de premier rand sur le marché des essais de vibrations au sol, tant sur le plan national qu’international.
L’ONERA et SOPEMEA réalisent des essais d’identification modale au profit d’avionneurs. Ces essais de vibrations au sol ou GVT (Ground Vibration Testing) sont primordiaux dans la vie d’un avion puisqu’ils précèdent son vol inaugural.  Pour ce check-up structural, l’avion fortement instrumenté est soumis à des sollicitations vibratoires suivant plusieurs directions, de façon à identifier son comportement dynamique. Les données acquises au cours de ces tests sont ensuite analysées et transmises à l’avionneur qui pourra recaler ses modèles numériques et ainsi...

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2 commentaires

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  • Bonjour,
    Oui, l’ONERA est un EPIC (Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial) et reçoit à ce titre des financements publics (du MoD, vous avez raison) mais c’est le moins financé de tous les EPIC Français: entre 35 et 40% cette année. Le reste, ce sont des contrats, comme les industriels.
    Que les ingénieurs/chercheurs de l’ONERA n’aient pas à se comporter comme des industriels, ils en rêvent tous! Mais la réalité est autre pour plus de 60% de leur temps.

    Répondre
  • Je suis toujours surpris du mélange des genres dans ce type d’accord:
    La finalité est une finalité industrielle et commerciale que je peux comprendre pour la SOPEMEA qui est une entreprise.
    L’ONERA est par contre un office dépendant sauf erreur du ministère de la Défense et à ce titre reçoit de l’argent public utilisable pour faire avancer la recherche et non pour se comporter en industriel sans en avoir les contraintes…..
    L’état n’a pas pour but d’être un concurrent sur le marché français ou international et pourtant de nombreuses officines étatiques le font : ONERA, CNES…..

    Répondre

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