Accueil » Transport Aérien – brèves » La Cargo City de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle s’agrandit

La Cargo City de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle s’agrandit

Vue globale de la SC4 sur la zone cargo de Paris-Charles de Gaulle. Les travaux ont débuté en juillet 2019 et la livraison a été effectuée en décembre 2020. © Alain Leduc / Groupe ADP

Le Groupe ADP, en tant qu'aménageur et investisseur, et le promoteur GSE Group, ont livré une nouvelle gare de fret connectée aux pistes, dénommée "SC4" pour station cargo n°4 sur l'aéroport Paris-Charles de Gaulle.

Implanté au cœur de la Cargo City de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle, cet ensemble immobilier regroupant environ 23.000 m² d’entrepôts et de bureaux est loué par DSV Air & Sea et par Groupe Europe Handling (GEH). Conçue par le cabinet Aotu Architecture, cette installation cargo de dernière génération comprend notamment :

  • un entrepôt connecté aux pistes, pour le dédouanement de marchandises à haute valeur ajoutée, avec des bureaux d’accompagnement en mezzanine. Cet entrepôt de 18.900 m2 sera certifié HQE Excellent
  • un bâtiment...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

11 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • par Jean Baptiste Berger

    Navré, Gil, mea culpa.
    Mais en même temps les sujets proposés, une fois qu’on a lu l’article, laissent parfois peu de place à des commentaires ; c’est de l’information.
    Là, un hub cargo financé par ADP…
    J’aurais aimė, en restant dans le sujet, pouvoir écrire « chouette ! Air France va avoir un outil moderne pour développer son activité de fret ! »
    Hélas, c’est la situation que je déplore dans mes commentaires qu’on peut constater.
    Et les réponses et analyses de Pilotaillon, que j’apprécie toujours car très bien argumentées, m’ont un peu fait dériver…et cette tribune pousse un peu à la faute.
    Désolé.
    JBB.

    Répondre
  • Intéressant tout cela. Mais deux remarques :
    – si vous écriviez en français, ce serait pas mal . « Cargo City » : ville cargo ???
    – La zone de fret à Roissy est très étendue. Ou est cette nouvelle gare de fret ? Un plan même sommaire aurait été bienvenu.
    Enfin, que sont vos engins de fret qui pourront stationner sur un  » terrain revêtu  » ? Des engins de manutention ?

    Répondre
  • par Pilotaillon curieux

    @JBB, pardon de lire les évènements dans un autre sens, vu de l’extérieur et en considérant (avant d’être sidéré) que les événements s’enchainent selon un processus global où chacun des acteurs a un rôle, mais décide et agit (avec l’aptitude que ses pairs lui ont accordé) dans un contexte donné.
    Pour le Fret, les acteurs des différentes composantes dont les employés, cadres des entreprises, le ou la Ministre ont fait ce qu’ils devaient faire…
    Ma lecture : suite à tant de remue ménage, la France peut se prévaloir d’avoir un des coûts du travail les plus élevés dans le monde. Sans entrer dans le débat des raisons originelles (ce n’est pas le sujet), quelque soit le niveau, les prix des Jobs sont souvent hors marché car chacun ne regarde (défend) uniquement son contexte proche.
    Si je prends le sujet du Fret, aux mêmes causes même effets. Avec une nuance, le transport doit être approché d’une manière globale, du premier au dernier Km en répondant à chacune des étapes, à la fois à du temps acheminement et aux réglementations en vigueur.
    Au début du raisonnement, le pays doit proposer un écosystème qui permet d’assurer le service, dans tous les cas de figure.
    N’oublions pas que le canal logistique fait de l’image de marque des entreprises expéditrices. Observez dans les avis : la livraison est le plus souvent le 1er critère. Même si le produit est de bonne facture, il ne vaut plus grand chose s’il est livré hors délai.
    Je fais un tour des petits détails qui me semblent en dire long sur l’organisation, et donc l’efficacité des écosystèmes.
    La conduite à droite des fourgons marrons aux States, les boites à lettre sur le bord de la chaussée, l’adoption des containers, les standard d’emballages des primeurs dans la distribution, le ramassage des ordures…
    Je m’amuse à regarder ces mesures qui font qu’une organisation sait (peut) – ou pas – structurer pour faciliter, diminuer le poids de la logistique dans son fonctionnement.
    Que dire alors, des batailles pour faire bouger tel ou tel communauté(1) ou groupe de pression, qui au final facilite – ou limite – l’implantation d’axes logistiques dans un pays.
    Je n’ai pas dit une région…
    J’ai une idée sur la question mais je m’abstiens car ces sujets sont sensibles. … (1) Car mon brave Môsieur on ne touche pas aux prés carrés impunément.

    Répondre
    • par Jean Baptiste Berger

      C’est pas faux…
      Mais si, dans notre beau pays qui se targue (dont les dirigeants se targuent…) d’être le champion du monde du social, du partage, de l’humanisme, du bien-être (santé) etc. chacun, plus pragmatique, ne s’occupe pas de défendre ce qui lui reste de son « pré carré », vous croyez vraiment que le prix du travail et la productivité concurrencielle vont s’améliorer ?
      Moi je reste persuadé qu’avec les dirigeants qu’on a depuis un demi-siècle, et qui se partagent les postes de décision (dans le public comme dans le privé) avec la méthode du pantouflage que je dénonce (et le monde des médias est totalement intégré dans ce système, d’où la « pensée unique » et l’impossbilité d’en changer sans y laisser des plumes) les seuls à y perdre pour que notre modèle devienne plus « concurrentiel » sont ceux qui bossent et donc ceux qui payent plus en impôts qu’ils ne profitent du social.
      Alors s’ils ne se défendent pas pour que l’état leur laisse profiter d’un peu du fruit de leur travail…ils rejoindront le rang des assistés et ce sera encore pire pour le pays…
      Les Hongrois, les Roumains, les Polonais etc. qui travaillent ont tous gagné en niveau de vie grâce à l’Europe des financiers défendue par des ambitieux au pouvoir depuis cinquante ans.
      Les Français qui bossent (sauf les élites que constituent les ambitieux en question) y ont tous perdu.
      Les voyous (qu’ils soient autochtones ou importés avec la bénédiction des élites) sont les seuls bénéficiaires de ce système qui les défend au delà du raisonnable,et eux ne cotisent pas !
      L’équation n’a pas de solution parce que maintenant il y a plus de profiteurs que de contribuables effectifs…et comme c’est au nombre de voix que sont élues les fameuses élites….

      Répondre
      • par Pilotaillon, peace'nd love warrior

        « Les Hongrois, les Roumains, les Polonais etc. qui travaillent ont tous gagné en niveau de vie grâce à l’Europe… », c’était du gagnant gagnant car l’Europe sait qu’elle doit se défaire de sa dépendance à la Chine et pays satellites. Le deal tacite avec ces nouveaux pays était il me semble assez simple :
        – vous avez envie des conditions de vie de l’EU occidentale, on vous accepte car votre niveau d’éducation est suffisant pour rattraper le « retard » et en échange vous serez (un temps) les petites mains manufacturières de la consommation occidentale… »
        – en contrepartie, vous agrandissez aujourd’hui mais surtout demain, ( eq. lorsque votre niveau de vie aura progressé), vous viendrez renforcer un bloc économique, en capacité d’être suffisamment fort et stable pour faire face aux challenger Sino Américains.
        C’est pas plus complexe que cela.
        Reste qu’il aura fallu sur l’instant trouver les leaders pour faire passer les mesures, y compris les temps de transitions où s’expriment les caciques et révoltés de tous poils, pour parvenir à ce que les Peuples soient confortablement installés jusqu’à la prochaine étape, qu’un virus (autrefois une guerre) vienne perturber.
        Dont le « personnel Leader » ne fait que passer et exploiter la situation avec un minimum de vision.
        Qui est à la hauteur de cette tâche ? Combien un système démocratique (caciques et révoltés compris) accepte de rétribuer ces profils ?
        Pour ma part : il me semble que ce devrait être à minima autant qu’un pilote expérimenté de bus de l’air, si je devais faire une comparaison… Car il s’agit de millions de concitoyens assez intransigeants et impatiens, dont la gestion n’a rien à voir avec des pax et la réglementation qui défini les prérogatives d’un équipage.
        D’ailleurs, il suffit de regarder les mesures prises pour limiter les gestes largement déplacés des quelques remuants voyageant pour le capitole la semaine dernière.
        Que sait-on faire en France pour gérer les black Blocks ?
        En résumé la France est plutôt un beau pays, où la vie est chère mais le confort maximum (5 étoiles Luxe) pour 60 millions d’Hab, et dont les voiture sont fabriquées en ….? (Hongrie, Roumanie Pologn, entre autre…)

        Répondre
      • par Jean Baptiste Berger

        @Pilotaillon
        Je ne parlais pas de la rétribution des décideurs.
        Je parlais de leur compétence, incompatible avec un système qui permet de passer d’un poste (public ou privé) à un autre (public ou privé) sans autre formalité que quelques coups de téléphone aux copains du réseau (important mais fermé) des autres decideurs eux-mêmes en place par les mêmes moyens.
        Si un « chauffeur de bus des airs », comme vous dites, casse un jour son bus….on lui en confie rarement un autre…
        Nos décideurs, dont beaucoup étaient déjà incompėtents lors de leur première prise de fonction (j’en donne un exemple dans mon premier post) continuent à être nuisibles dans les suivantes… vous donnez vous-même un exemple de leur nullité face à des groupes de voyous comme les blackbox et autres zadistes….
        Et la presse et quelques associations d’inconscients (ou de traitres) sont complices de cette situation .
        Personne n’enverra la légion « nettoyer » les cités, capturer et isoler les blackbox et les cinglés qui coupent la tête des brave gens en prétextant étre guidés spirituellement…
        C’est pourtant ça que les « braves gens » leur demandent, pas de chercher à figurer parmi les prochains prix nobel du climat ou de la paix (des élites)

        Répondre
    • par Pilotaillon respectueux

      Et si je continuais le parallèle avec les équipages qui doivent faire face à de l’imprévu ?
      Doit-on remettre en cause la compétence, le maintien des prérogatives et la confiance que l’on porte au « poste » après les incidents ou accidents, dont les conditions initiales « n’étaient pas écrites dans le manuel » (Colluche) ?
      Je crois que la défiance à la politique est un luxe de pays riche avec des réseaux sociaux un peu Beauf et facile (à qui mieux mieux).
      Ce contexte n’offre plus aux citoyens de connaitre le vrai prix de sa liberté et son confort, vu qu’il est né avec, et qu’il l’a totalement intégré dans son esprit.
      On prête à Confucius ce qui n’est plus possible de faire à l’échelle de nos communautés de pays privilégiés : « L’homme sage apprend de ses erreurs, l’homme plus sage apprend des erreurs des autres ».
      Alors pour revenir au thème de cette page et à la réaction de JBB, le fret n’est pas valorisant ni adapté aux Français. « Pousser des cartons vous n’y pensez pas Monsieur, en tous pas pour mes enfants… », et comme le BTP, il préfère le laisser aux « autres », qui eux accepteront les conditions sur lesquelles nous fermerons les yeux, car les petites mains n’existent pas, tant qu’elles font le job…
      Alors on se réveille un jour, avec l’idée que ce job n’est pas celui auquel on pense (le livreur pressé dans sa fourgonnette défoncée et gênante sur les voies de circulation) mais que c’est un des éléments clé pour capitaliser sur les flux, une entrée dans la chaine de valeur des produits…
      Mais « on a oublié » tout ce qui était avant : il n’y a pas de mauvais job, il y a juste l’image qu’on leur prête, et comme dans les pays occidentaux nous avons un standing à préserver…
      Alors des Pays émergeant comme la Chine arrivent, avec leurs petites mains, face au suprémacistes blancs.
      – « Quand on gagne trop longtemps, on transforme son assurance en arrogance… » (X. Fontanet).

      Répondre
      • par Jean Baptiste Berger

        Ce que vous dites est vrai (et je fais partie des Français qui préféreraient un système éducatif qui valorise le travail des « petites mains  » que vous dites au lieu de pousser tout les gamins a faire du droit (de travers, comme disait votre référence, Coluche) et à contribuer à empiler des couches d’administration inutiles (tout autant que de métiers « de la communication » improductifs) parce que leurs parents, petits bourgeois, trouvent dévalorisant les métiers de la logistique ou de la construction.
        Et en rémunérant correctement ces métiers indispensables on désengorgerait une administration aussi coûteuse que néfaste à la productivité du pays tout en limitant l’appel aux étrangers pour ces tâches. (En gros, au lieu de payer des inutiles et les chômeurs qu’on n’a pas pu caser dans l’administration , on diminuerait le prix du travail effectif et, tout en redevenant concurrentiel, on augmenterait d’autant le niveau de vie des « petites mains », tout cela étant vertueux pour le pays.)
        Mais Giscard (et son orchestre…) sous la pression des grands groupes de la distribution et du BTP (et un peu de l’hotellerie) de son époque a prėféré favoriser une immigration massive, mouvement qui a perduré , en s’amplifiant,avec ses successeurs (le premier étant quand même un homme prétendûment de gauche….) .
        C’est donc bien de nos brillantes élites , manipulées (je n’ose pas dire « achetées » ) par ces libéraux financiers sans scrupules que vient cette situation.
        Et pour revenir au thème initial (ADP qui offre un hub cargo aux compagnies étrangères) je maintiens que par ce biais on renforce la position des compagnies de fret non Françaises (puisque la brillante Madame Parly a coulé, en cinq ans , la première compagnie mondiale de fret (hors intégrateurs) ) .
        La diffėrence entre les « petites mains » employées par ces compagnies étrangères et celles qu’employait alors Air France c’est que maintenant, au lieu qu’une société Française paye convenablement ses employés dédiés à la logistique, c’est tout le pays qui « râle » parce qu’il a de nouveaux chômeurs sur les bras et on ne trouve rien de mieux que de compenser cela en augmentant encore les charges sociales sur ceux qui acceptent, du coup, une rémunération ridicule ….les étrangers pour qui c’est quand-même mieux que chez eux…
        Et par le biais des contrats temporaires avec des sociétés pirates non basées en France, on permet encore à la chaine des financiers rapaces de se faire du pognon sur le dos des malheureux…sans que l’état tenu par nos élites intouchables ne gagne un rond dans l’affaire !
        Y’en a marre de dire que les Français ne veulent pas travailler.
        Ce qu’ils veulent c’est être rémunérés de façon juste pour leur travail sans qu’on les culpabilise tous les jours de ne pas accepter les conditions d’esclavage que les élites nationales leur imposent comme inéluctables.
        La « loi du marché » a bon dos dans un pays où on tire vers le bas le niveau de vie des gens qui bossent pendant qu’on augmente le nombre de « conseillers », « spécialistes » et autres « experts » en blabla, grassement payés, que nos élites nous obligent à rémunėrer pour nous asséner, du haut de leur condescendance, le discours culpabilisant qu’on entend à longueur de journée sur les mėdias aux ordres.
        A qui ça profite, tout ça ?
        On réalise aujourd’hui qu’on n’est même pas capables de soigner les gens à temps pour leur éviter la mort (1 sur 4) une fois qu’ils sont (enfin…) admis à l’hôpital, là où il a fallu mettre tout le pays en prison pour éviter qu’ils se précipitent, faute de place !
        Les Coréens (made in Corea, on en rigolait dans le temps…) ont dix fois moins de morts que nous, les ouvriers (tous Coréens) construisent plus de voitures que nous et sont payés ce qu’un cadre moyen touche en France ! et en plus ils nous en vendent !
        Peut-être ont-ils moins de parasites qui se servent au passage entre ce qu’ils produisent et ce qu’ils consomment, ne croyez-vous pas ?

        Répondre
      • Encore une fois, Jean-Baptiste s’éloigne du domaine aéronautique ! Recentrons-nous SVP !

        Répondre
      • par Pilotaillon curieux

        Dans mes réflexion je m’attache simplement à comprendre pourquoi un opérateur aéroportuaire (ADP) cherche à entrer dans une chaine de valeur traditionnellement occupée par des spécialistes.
        Je pense aux majors historiques (UPS et consorts), puis par les transporteurs qui y trouvent une nouvelle source de revenus (prestations logistiques globales) qui compensent l’extrême perte de valeur liée à l’entrée des pays de l’Est de l’Europe, qui ont fait du camion un consommable à bas coût.
        Serait-ce pour se repositionner face à un SrasCov qui a vidé les aérogares ?
        C’est de toutes les manières assez étonnant, car c’est un autre métier, très intégré par l’adhésion à des systèmes complexes et surtout propriétaires…
        Il n’est pas certain que les majors cités avant, soient bienveillantes à l’égard de gestionnaires qui leurs demandent d’une main un rétribution (droit d’usage de la plateforme) et qui tentent de l’autre main de les court-circuiter en construisant des outils sur site, à côté des leurs…
        Les nouveaux modèles Business nous réservent parfois des surprises à moins que ce ne soit du « Sauve Qui Peut ».
        En tous cas je ne perçois pas d’élan d’adaptation de l’aérien, un envie de s’écarter de son métier de base pour aller chercher de la valeur ailleurs.
        Sans doute les compagnies en restant dans leur ligne d’eau pensent que cette stratégie est suffisante pour aborder l’avenir ?
        Ou les personnels ne sont pas encore ouverts (= n’ont pas encore assez souffert de la nouvelle situation) pour imaginer faire évoluer leur job comme l’a fait le transport terrestre.
        Je sais : un camion n’est pas un avion…

        Répondre
  • par Jean Baptiste Berger

    Encore un bel exemple de ce que nos « énarcotechnocrates » sont capables de faire….pour nos concurrents !
    La brillante ministre des armées, ancienne ministre des postes, devenue patronne du fret Air France (qu’elle a coulé en vendant 90% des avions dédiés) puis de l’escale d’Orly (où Air France s’est donc fait dégager par les concurrents étrangers) avant de revenir, en grâce donc, au gouvernement des champions du monde de la vaccination anticipée….saute donc allègrement du public au privé avec un égal succès !
    Nul doute qu’en cooptation avec ADP elle va favoriser l’augmentation des taxes de stationnement pour les avions, ceux qui n’y passent le temps d’une escale (tous les autres) et ceux qui y passent toute la nuit, couvre feu oblige, avant de revenir payer une taxe de toucher plusieurs fois par jour : Air France.
    Donc, en résumé, Air France finance un hub cargo magnifique que seuls les étrangers peuvent utiliser !
    Trouvez l’erreur…

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.