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Aux grands avionneurs les grands remèdes

L'unité d'assemblage du 787 à Everett. © Boeing

Alors qu’Airbus remet en marche progressivement ses unités d’assemblage de Toulouse et de Getafe (Espagne), le jour même où il dévoile sa nouvelle stratégie financière, Boeing arrête sa production aux Etats-Unis.

Jusque-là victimes indirectes du Covid-19 à travers la suspension des activités de leurs clients, Airbus et Boeing ont été frappés, l’un après l’autre, en plein cœur. Le 12 mars 2020, Airbus confirmait qu’un employé avait été testé positif au Covid-19 sur son site de Madrid (Getafe). Le 22 mars 2020, Boeing annonçait la mort d’un de ses salariés travaillant dans l’usine d’Everett (Etat de Washington).

De Toulouse à Everett, l’industrie aéronautique à l’arrêt

Entre temps, Airbus fermait, pour une durée de quatre...

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7 commentaires

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  • Les sciences humaines resteront a l’ homme et les sciences techniques palpables passeront aux robots , c’ est deja partiellement fait .
    De toute facon toute la planete est au ralenti , et les chinois relancent le poker en arretant deja le confinement , ils risquent de nous pourrir l’ ete’ ?

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  • par Pilotaillon, Européen vigilant

    Bonjour
    To fly or not to fly, that’s the question.
    L’équation est simple : soit nous sacrifions l’économie, qu’on peut décrire par l’ensemble des coopérations humaines matérialisées par des compétences, des moyens d’action, des ressources naturelles (beaucoup) et au bout des consommations, ou le sacrifice humain, c’est à dire mettre la vie des plus sensibles en face des avantages d’une vie moderne, de notre confort individuel.
    Aussi nous pouvons évaluer dans ce crash test en vraie grandeur notre sensibilité à la vie et aux échanges multilattéraux… On peut mesurer la résistance aux agressions psychologiques et morales, mesurer nos réactions collectives face à de vrais choix, qui ne relèvent plus du superficiel.
    Enfin aurons nous envie d’explorer nos vraies ressources personnelles, cesser de seulement regarder nos petites existances, nos dépendances interessées.
    L’instant est très interessant parce qu’il nous ramène collectivement à l’essentiel, on nous donne 6 semaines pour revisiter nos aspirations, nos valeurs.
    Bonne route à tous, pour une fois nous sommes égaux et avons une vraie chance de nous prendre en main.

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  • Vous oubliez les défauts de formulation de leur moteurs …. Prochains problèmes des avionneurs ….

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  • Je serais curieux de savoir a qui ils vont livrer les 800 avions n 2020, dans le dernier vol qui reliait BOG a ATL le pilote nous a fait part de sa tristesse de savoir que le 767-300ER dans le quel nous etions faisait son dernier vol commercial. Les licenciements massifs dans le secteur ne plaident pas en faveur de l’optimisme. Nous allons revenir a un mode de consomation des annees 70 ou les achats de necessite prevaudront sur les loisirs et les voyages.
    J’espere me tromper mais quand je vois ce qui se passe ici dans la priere economie du monde ne pousse guere a l’optimisme.

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  • par prenom jacques chalumeau

    bonjour ,sommes nous vraiement dans un monde de pacotilles, ou tout ce qu on croyait solide s effondre en cinq minutes , cac 40 et compagnie,ou les bourses s effondrent pour rien en cinq minutes- quels monde de bluffeurs et de psychologie a deux balles voire de trouillards -,compte tenu des commandes airbus on voit vraiement pas pourquoi voir l avenir en noir , certes l économie n est toujours pas une science exacte et les évènements maitrisés ou non maitrisés -oui y en a aussi – peuvent peut etre apporter une nouvelle manière de voir les choses -nico

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  • Bonjour,
    je ne trouve pas l’étude réalisée par le cabinet britannique Agency Partners, rapportée par le media américain Aviation Week.
    Pourriez-vous, svp, partagé le lien ?

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