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Renaud Ecalle… bien sûr !

Le champion du monde en titre a survolé les championnats de France de voltige aérienne qui se sont déroulés du 21 au 25 juin 2010 à Saint-Yan.

Sans surprise, Renaud Ecalle remporte le titre 2010 de champion de France à Saint-Yan. Le chef de file de la voltige française domine la discipline sans partage. Au classement général, il devance son collègue de l’EVAA, Pierre Varloteaux, et Alexandre Leboulanger. Kathel Boulanger, quatrième, est première féminine et s’adjuge le titre de championne de France. Le championnat de France Advanced qui se disputait en même temps a été remporté par Baptiste Vignes (AC de Bernay), devant Simon de la Breteche...

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13 commentaires

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  • par Pascontentlorsquejeliscettepage

    Renaud Ecalle… bien sûr !
    Et bien lorsque l’on regarde tous ces commentaires , et que l’on fait partis des personnes citées, et bien il a vraiment du n’importe quoi …
    Au lieu de vouloir continuer à parler et a ne rien changer … Que les personnes qui ont de bonnes idées prennent leurs jambes, montent à Paris et proposent des idées à la place de parler sur des sites internet …
    Merci Myriam et merci Arnaud que je connais personnellement pour leurs franchises …
    Pour avoir été au CF1 2010 à Saint Yan, sachez que s’il manque des clubs, tout d’abord , ce n’est pas par faute de moyen mais à cause de soucis techniques arrivés sur des appareils…
    Des exemples : Le 231 EX de Montpel à été accidenté
    Le 232 de Pau, vendu
    Le 231 de Pau, en renfort Voilure comme le prévoit une CN
    Le 231 de Dijon, moteur au bout et bientôt vendu

    Si vous avez d’autres exemples, vous pouvez les rajouter.
    Ensuite,tout le monde n’été pas là, c’est un fait, ok … Mais en aucun cas il faut dire que la voltige Française ce résume à une personne ( fort sympathique d’ailleurs ) … Mais il y a des pilotes hommes ou femmes , qui dépensent de l’argent, de la sueur, de leurs temps pour voltiger.
    Tout le monde n’a pas la chance de pouvoir voler « gratuitement » ( merci nos impôts )
    Donc les autres pilotes comme vous les décrivez sont des civiles et même militaires qui comme nous tous ( j’espère ) ont une passion commune  » la voltige  » .

    Pour conclure car je pourrais écrire pendant des heures .

    La voltige française est l’affaire de tous, le DTN est là pour le rappeler, les militaires, et les civils aussi !!!

    Merci à tous

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  • Renaud Ecalle… bien sûr !
    De toute façon ne chercher pas midi à 14h, le seul problème comme partout, c’est le coût de l’heure de vol.

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  • Renaud Ecalle… bien sûr !
    Dans un microcosme aéronautique ou il devient difficile d’aligner 50 heures de vol annuelles en DR-400 (grosse centaine d’euros de l’heure ?) comment voulez-vous motiver les gens à aligner les heures de vol en CAP 10 à 180€/h et d’autres en CAP 232 à 400€/h ? Et comment voulez-vous qu’ils soient assez nombreux pour que parmis ces pilotes voltigeurs sortent du lot quelques bons qui soient en plus motivés à la dureté d’un entrainement voltige de niveau international ?

    Quand on voit dans les clubs « lambda » qu’il est déjà difficile de trouver un avion à train classique et l’instructeur qui va avec, sans parler de la peur panique qu’on certain face à ces avions à train classique, quand on voit que dans certains clubs on a peur de certains avions « performants » bien motorisés ou un peu sensibles aux commandes, comment voulez-vous motivez les gens à faire de la voltige, puis une fois accrochés à faire de la compétition de haut niveau ?

    Déjà qu’il y a peu d’avion monoplaces… Dans un club pas loin de chez moi, ils ont un Fournier RF4, machine très sympa, simple, et apte à un minimum de voltige souple ou du moins de vol de maniabilité. En plus il ne coute rien de l’heure de vol ! C’est simple : il y très peu de personnes lachées dessus, on ne le voit jamais voltiger, car il n’y a personne pour expliquer comment le faire ! Le problème est résolu, quelqu’un lui a cassé le train l’autre jour et il ne sera pas réparé…

    Ou est-elle l’époque ou tous les clubs avait un Stampe et ou tout le monde avait droit à son tour de voltige pour faire de vraies mises en garde et un peu de voltige « pour voir » et faire de vrais pilotes plutôt que des conducteurs d’avions ?

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  • Renaud Ecalle… bien sûr !
    Bonjour,
    En fait, il s’agissait de trois niveaux, et non deux, ainsi que de 22 pilotes participant à la compétition. Dans l’article, a été oublié le niveau « Excellence » (ex-Doret Libre).
    Faisant moi-même de la voltige depuis 13 ans et de la compétition depuis 11 ans, d’aprés mon expérience, il n’y a pas vraiment d’âge limite (dans la mesure du raisonnable), pour commencer ou faire de la compétition. Parmi les meilleurs mondiaux, on trouve des jeunes de moins de 25 ans, comme des cinquantenaires. La voltige ne s’apparente pas aux autres sports, dans ce sens. Espéront que le nouveau DTN saura le comprendre.
    Sur la faible participation au championnat de France à St Yan, en plus de « l’effet crise », qui affecte toutes les activités aériennes, il y a le placement de la compétition fin juin. Ceci ne permet pas à beaucoup de pilotes d’être entrainés à temps ou libérés d’obligations professionnelles (il y en a même qui se sont amusé à passer une DNC largage para, cette semaine là…ça aussi c’est du sport!). On devrait avoir plus de monde à la Coupe de France à Châteauroux (si pas de panne mécanique bien sûr).
    Myriam.

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  • par Jacques Chauvierre

    Renaud Ecalle… bien sûr !
    Relisez la « véritable » histoire de la voltige française, vous aurez peut-être quelques solutions…

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  • Renaud Ecalle… bien sûr !
    Le problème dans toute politique de « favorisation » est qu’on tombe le plus souvent dans la discrimination pure et simple… je rejoins donc le « vieux voltigeur » sur le sujet. La voltige est un sport où le physique ET l’expérience comptent donc l’âge n’est selon moi pas un frein ;exemples de l’équipe russe, de Vazeille, Ivanoff et la troupe red bull qui ont , pour la plupart, passes les 30 ans et qui sont pourtant au top. N’oublions pas que Renaud Ecalle ,n’a pas commencé à voler à 20 ans mais bien plus tôt, et donc qu’en plus d’être extrêmement doué, son environnement était propice… il est donc une exception.
    Profitons du fait que la voltige le permette pour choisir pour nous représenter les meilleurs et pas les plus si ou les plus ça. La mixité des générations pourraient apporter de très bonnes choses, et la possibilité pour tous de progresser jusqu’au plus haut niveau redonnerait des participant s à tous les championnats….
    Après pour l’heure de vol en mono… à part installer un moteur électrique de Tesla dedans!!!

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  • par un "vieux" voltigeur

    Renaud Ecalle… bien sûr !
    Vous soulignez à juste titre le manque de participant à cette compétition.

    Ce n’est, à mon sens, que le résultat de la politique de la Fédération qui depuis plusieurs années ne jure que par les jeunes pilotes et délaisse totalement les autres.

    Elle a, dans un premier temps, écarté des 2 équipes de France, les « vieux pilotes » (30/40 ans) qui faisaient pourtant des podiums au niveau international, puis, elle les a replacés par des « petits jeunes » ; et depuis, pas de salut, à moins d’être dans la force de l’âge ou d’être militaire.
    Pourquoi pas. C’est bien d’aider les jeunes et de profiter de pilotes entrainés sur le budget Défense National, mais cette politique à fait fuir « les vieux pilotes » civiles des compétitions Nationales monoplace.
    Ceux-ci font quelques compétitions mono, puis, comprenant que leur horizon est bouché et qu’ils ne pourront plus progresser, arrêtent les compét.

    C’est un choix. Il faut l’assumer et ne pas venir se plaindre, après coup, du manque de pilote en championnat de France mono.

    Un nouveau DTN a été nommé, suivra t-il la politique de son prédécesseur ?

    Répondre
    • Renaud Ecalle… bien sûr !
      Vous mettez le doigt sur un sujet sensible qui a alimenté le débat depuis que Jacques Carriquiriberry dirige la direction technique nationale de la FFA. Un nouveau DTN arrive cet été. Il est en train de prendre ses marques. Il s’agit de Loïc Logeais, un ancien membre de l’équipe de France de kayak et donc d’un compétiteur. Wait and see… G.R.

      Répondre
  • Renaud Ecalle… bien sûr !
     » Le désintérêt de la plupart des pilotes français pour la voltige de compétition est plus inquiétant parce qu’il hypothèque l’avenir même de la discipline.  »

    Mr Gil Roy, je viens chaque jour lire vos articles, je trouve votre site très bien, je vous remercie pour ce site. Mais quelques fois je vous trouve un peu trop critiques sans donner de réel explications. Je m’explique …

    La voltige aérienne, c’est un sport absolument magique, on tente une fois, c’est souvent pour la vie, malheureusement faire de la compétition, tout le monde n’en a pas forcement les moyens, le coup horaire d’un cap10 c’est environ 180e de l’heure. Le coup horaire d’un cap232, est environ du 400e de l’heure.

    Nos cap10 maintenant sont je pense, un peu vieux pour faire de la compétitions sérieuse, même le 2ième cycle ça commence à être limite pour des avions qui ont 25-30ans. Pour passer déjà à une gamme d’avion pour être relativement tranquille, on trouve l’extra 200 et là, on passe à 200-250e par heure et comme le cap232 …. ces avions là ne sont pas répandus dans les aéroclubs !!! Je peux vous dire que je connais beaucoup de personnes voulant faire de la compétition, mais c’est financièrement impossible, c’est pas avec 20 heures par an que l’on peut commencer la compétition sérieuse.

    Peut-être même que la suprématie de l’evaa y est finalement aussi pour une chose (avis bien personnel, et c’est pas avec les quelques stages qu’il y a avec les civils que ça va changer grand chose).
    Si il y a pas par exemple un problème financier il peut y avoir le problème du temps, je pense que c’est entre 20-25 ans que l’on peut vraiment se mettre à la voltige de compétition, malheureusement les jeunes font souvent de longues études dans cette tranche d’age, commencer la compétition entre 25-30ans pour vraiment avoir un bon niveau, c’est peut-être déjà trop tard. C’est vrai que ce dernier paragraphe n’est pas juste pour la voltige aérienne, mais cela joue aussi.

    En tout cas .. je peux vous assurer qu’il y a aucun désintêret des pilotes français pour la compétition en voltige aérienne.

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    • Renaud Ecalle… bien sûr !
      Ai-je écris que la voltige n’était pas un sport intéressant ? Que la compétition n’était pas un stimulant ? Le faible nombre de pratiquants est évidemment lié en premier lieu au coût élevé de l’heure de vol, mais aussi à des considérations matérielles : le petit nombre de clubs voltige et d’entraîneurs notamment. S’il est relativement facile de débuter, en revanche, l’entrainement est un vrai parcours du combattant pour les compétiteurs avec des obstacles qui se mesurent aussi en centaines de kilomètres par la route pour trouver un monoplace et un entraîneur. Et comme la voltige est d’abord un sport de compétition, on peut comprendre qu’au fil des saisons les compétiteurs se lassent et renoncent. D’où un « désintérêt » pour la voltige. Peut-être aurais-je du écrire que fatigués de se battre pour réunir le budget suffisant et de devoir partager un avion, les voltigeurs se détournent de la compétition…

      Quoi qu’il en soit nous sommes d’accord : la voltige aérienne est un sport exceptionnel. Mais vous ne m’empêcherez pas de penser que le réservoir est en train de se tarir (j’en veux pour preuve le nombre de plus en plus réduit de participants aux différents championnats de France) et que si la Fédération française aéronautique, qui est une fédération sportive, ne s’attaque pas au problème en trouvant un moyen pour aider les jeunes voltigeurs prometteurs, l’avenir de la voltige aérienne française sera entre les mains du ministre de la défense. Il ne s’agit pas ici d’opposer civils et militaires. Sur ce point je pense au contraire que l’EVAA peut jouer un rôle de locomotive. Mais cela, est un autre débat… G.R.

      Répondre
    • Renaud Ecalle… bien sûr !
      A part savoir nager et ramer, je ne sais ce que vient faire un compétiteur de Canoé comme DTN. Nos anciens compétiteurs sont-ils si mauvais pour occuper le poste ? Je crois que la Roselyne devrait jeter un œil là-dessus aussi, il y a quelque chose de pas normal dans ce monde fédéral ! Non ? Il faudrait également lui suggérer de remplacer les footbeurs par des militaires et récupérer l’argent pour la voltige plusieurs fois champion du monde… eux

      Répondre
      • @Enzo
        Un peu de modération SVP ! AeroBuzz.fr n’est pas RMC Info et cet espace réservé aux commentaires n’est pas les « Grandes gueules » ! Il existe des forums sur lesquels il est possible de se laisser aller. AeroBuzz.fr n’est pas un forum, mais un site d’information aéronautique en continu…

        Au risque de me répéter, je conçois les commentaires comme des compléments d’information ou des précisions. Pas comme des jugements à l’emporte-pièce ou des réactions impulsives entraînés par des lectures souvent hâtives d’un article… Cette remarque s’adresse à Enzo, et à tous ceux qui ne l’ont pas encore compris.

        Revenons à la voltige française. Les DTN sont des fonctionnaires du ministère des Sports et à ma connaissance, peu d’anciens voltigeurs de haut niveau ont souhaité ou pu suivre le cursus pour devenir DTN. Cela limite donc le choix lorsqu’il faut en affecter un à une fédération comme celle des aéro-clubs. Par ailleurs, le DTN de la FFA ne s’occupe pas que de la voltige. Il a d’autres fonctions.

        Quand on a la chance d’avoir un Coco Bessière pour préparer les voltigeurs français, est-il indispensable que le DTN soit lui aussi un ancien voltigeur de haut niveau ? Rien n’est moins sûr. Ce qui importe c’est que l’entraîneur national et le DTN s’entendent et travaillent en complémentarité.

        Dans les années 80-90, le Vol à voile a eu un DTN qui n’avait pas un passé dans le vol à voile. En revanche, c’était quelqu’un qui connaissait parfaitement le fonctionnement du ministère et qui avait un bon carnet d’adresses. Cet homme a apporter au vol à voile français et à l’équipe de français des moyens énormes par rapport au nombre de licenciés. Les structures et les équipements qu’il a mis en place existent toujours et continuent de générer des médailles.

        Le débat est ouvert. Tous les contradicteurs sont les bienvenus à condition qu’ils aient des arguments à faire valoir. Et cela est vari quelque soit le sujet… J’en profite pour rappeler que seuls les commentaires signés par des internautes joignables par leur adresse email sont mis en ligne.

        Gil Roy

        Répondre

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