Accueil » Transport Aérien » Le trafic low cost sauve les aéroports français

Le trafic low cost sauve les aéroports français

En 2013, les aéroports français ont traité 172 millions de passagers, soit une hausse de +2,1% supérieure à la croissance européenne (+1%). Ce relativement bon résultat (croissance mondiale de 5,2%) est à mettre à l’actif des compagnies low cost dont le trafic pèse de plus en plus lourd sur les résultats des aéroports de l'hexagone.

Le trafic low cost représente un quart du trafic des aéroports françaisEn 2013, un passager sur trois, au départ ou à l’arrivée d’un aéroport français en...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

4 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Le trafic low cost sauve les aéroports français
    Un paradoxe qui montre que sans les low-cost maintes fois critiquées mais aussi critiquables, force est de constater que bien des aéroports secondaires auraient mis la clef sous la porte.

    Répondre
    • Le trafic low cost sauve les aéroports français
      tout à fait d’accord sur le sujet, habitant sur la commune de longvic et près de
      l’aéroport de DIJON- BOURGOGNE, il s’avére que ce dernier risque de fermer définitivement pour mauvaise gestion au détriment de nos impôts, et bien sûr la faute
      des élus!!!!!

      Répondre
    • Le trafic low cost sauve les aéroports français
      Sauf que sur les aéroports secondaires les compagnies low-cost ne vivent que de grasses subventions versées sous différentes formes!
      Sans subvention, il n’y aurait pas de low-cost sur les aéroports secondaires.

      Répondre
    • Le paradoxe.
      @pilotaillon :…Et sans low-cost plus d’aéroport secondaire… c’est le paradoxe.

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.