À propos Gil Roy

Gil Roy a fondé Aerobuzz.fr en 2009. Journaliste professionnel depuis 1981, son expertise dans les domaines de l’aviation générale, du transport aérien et des problématiques du développement durable est reconnue. Il est le rédacteur en chef d’Aerobuzz et l’auteur de 7 livres. Gil Roy a reçu le Prix littéraire de l'Aéro-Club de France. Il est titulaire de la Médaille de l'Aéronautique.

Vers la suspension des certificats de type des Robin à partir du 1er janvier 2009

Si aucun repreneur ne se manifeste officiellement auprès du liquidateur judiciaire du dossier Apex, avant le 31 décembre 2008, l’EASA suspendra les certificats de type des avions Robin à compter du 1er janvier 2009. Cette décision administrative permet aux avions de continuer à voler en l’absence d’un suivi de navigabilité, mais elle n’éloigne pas la menace d’une interdiction de vol de l’ensemble de la flotte au

Le temps presse pour les avions Robin et Cap

De report en report de décision du Tribunal de commerce de Dijon, l’affaire Apex s’enlise dans le marais judiciaire et la menace d’impossibilité de vol qui pèse sur les avions Robin et Cap devient de plus en plus précise. Alors que la Fédération française aéronautique tente de prendre à témoin l’opinion publique et la DGAC manœuvre, dans la coulisse européenne, pour éviter le pire, une solution

Essais concluants pour l’hélice silencieuse Anibal de l’Onera

La campagne d’essais en vol menée en octobre 2008 par le Centre d’essais en vol (CEV) a démontré que l’objectif visé par l’Onera dans le cadre du programme Anibal avait été atteint. Désormais, l’hélicier Duc-Hélices peut entreprendre la certification de cette hélice à cinq pales destinée, dans un premier temps, aux avions remorqueurs Robin DR400 exploités dans les centres de vol à voile.

Le Beaujolais Nouveau n’a plus les moyens de prendre l’avion

Pendant des années, les expéditions de Beaujolais nouveau par avions cargos spéciaux ont été mises en scène. La médiatisation de la logistique participait de la montée en puissance de l’événement. Aujourd’hui que le vin français se vend moins bien à l’export, les négociants beaujolais optent pour le bateau au détriment de l’avion. Ces économies pourraient leur coûter cher.

Le Beaujolais Nouveau n’a plus les moyens de prendre l’avion

Pendant des années, les expéditions de Beaujolais nouveau par avions cargos spéciaux ont été mises en scène. La médiatisation de la logistique participait de la montée en puissance de l’événement. Aujourd’hui que le vin français se vend moins bien à l’export, les négociants beaujolais optent pour le bateau au détriment de l’avion. Ces économies pourraient leur coûter cher…

1 commentaires