Pas de doute, cette élégante et prometteuse version sport du VL3 sera l'une des vedettes du salon France Air Expo, les 17, 18 et 19 juin 2021, à Lyon-Bron. © JMB Aviation
Sur le tarmac de France Air Expo, JMB a prévu de présenter ce VL-3 au meilleur standard (peinture Ultimate free, intérieur Allure free, porte cargo) équipé d’une injection Edge Performance. Avec des biplaces aux livrées exceptionnelles, aux surfaces et aux finitions irréprochables, le tonique avionneur belge ne cesse de marquer sa différence en liant haute performance et look exclusif, évidence des sports mécaniques trop négligée dans l’aviation légère.
Si la machine exposée en vedette reste aux limites réglementaires françaises (pour mémoire...
6 commentaires
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Il est clair que les « zautorites » vont devoir réglementer la classe ULM. A force de faire crever l’aviation légère qu’ils ont « en gestion », avec une efficacité qui laisse greta admirative, ils ne pourront bientôt plus justifier leurs postes pour « gérer » les quelques survivants restants. Ils n’auront pas le choix que de faire main basse sur le parc où tout ceux qui volent se seront réfugiés afin de conserver leur légitimité, et finit leur œuvre sous les applaudissements des écolos les plus radicaux
Enfin, comme disait Coluche, donnez aux énarques le Sahara à gérer, dans 5 ans ils devront importer du sable….
Le problème français n’est pas tant les limitations liées aux masses, à vide et max décollage qu’on peut comprendre pour définir un ultra léger motorisé, mais la limitation de puissance à 109 CV qui me semble injustifiée vue les disparités entre les différentes classes ULM. De plus, il est pour le moment, impossible à un ULM multiaxe d’être alimenté par un moteur électrique, le poids des batteries étant rédhibitoire. Il n’y a aucune justification de limiter les puissances des moteurs dans les classes ULM. Est-ce qu’on limite la puissance des Ferrari sous prétexte qu’on a que le permis B ? Non.
C’est vrai qu’on peut compter sur les gens pour qu’ils soient raisonnables. On le mesure chaque jour.
Les Ferrari tombent de moins haut qu’un aéronef. Pour autant, on voit régulièrement des épaves de voitures sportives dans des situations disons, surprenantes.
Comme pour la covid et l’application des gestes barrières, comme pour la conduite des voitures rapides en bons pères de familles…, faisons toute confiance aux utilisateurs de ces ULM extraordinaires pour les piloter en cohérence avec leurs capacités et leur expérience. Si tel n’était pas le cas (mais bien sûr que cette probabilité est totalement nulle), attendons nous à ce que ces niveaux de performances aiguisent encore l’appétit des règlementeurs à règlementer.
La future réglementation de ce genre d’aéronef dénommé ULM, on la connaît .
C’est celle de l’aviation dite « certifiée « !
A 340kg à vide ce VL3 n’est pas certifiable ULM en France .
A 340kg à vide : non,mais à 337,5kg : si.
Quelques équipements non essentiels en moins (sièges de luxe,double Efis etc …) ou bien choisis (hélice eprops) permettent à la masse à vide d’être dans les clous règlementaires en France.
J’ai du mal à comprendre le constructeur qui propose pour la France des équipements non essentiels dont l’excès de poids expose les propriétaires à voir leur appareil arrêté de vol,jusqu’à ce que correction soit faite.
Car il faut savoir que la DGAC avait promis qu’avec la nouvelle règle des 525kg,des contrôles de masse à vide seraient faits.
Or aujourd’hui,des contrôles sont faits.