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Premier atterissage d’un A340 en Antarctique

L'A340-300 d'HiFly pose ses roues sur la piste enneigée au coeur de l'Antarctique. © HiFly

Le 22 novembre 2021, la compagnie aérienne Portugaise Hi Fly spécialisée, a posé un Airbus A340-300 sur la glace bleue de l'Antarctique. Une première pour le quadrimoteur Européen.

L’appareil utilisé pour le vol était l’A340-313 HGW (High Gross Weight) immatriculé 9H-SOL. L’objectif était de transporter 23 passagers (des touristes et des scientifiques) ainsi que du matériel jusqu’à la piste Wolf’s Fang (WFR). Il s’agit d’une bande de glace longue de 3.000 mètres pour 60 mètres de large et épaisse de 1,4km, située en Antarctique (71.31’03S – 08.47’06E).

Le quadriréacteur...

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10 commentaires

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  • Bof, une piste longue et large recouverte de quelques centimètres de neige.
    En hiver, tous les jours, toutes les nuits, les avions gros porteurs se posent sur des pistes nettement plus courtes dans le Nord de l’hémisphère Nord, recouvertes de neige et de glace, dans des tempêtes de neige.
    Le reportage est sympa, les images inhabituelles.

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  • Bonjour Monsieur Lelaie,
    Grand respect pour vous.
    Non, il ne s’agit pas de donner des leçons. Par contre, d’accord avec vous pour acter que le forum est apaisé depuis qu’aucun passager clandestin n’y conteste que l’avion a systématiquement raison 🤔
    PS je ne suis pas leur porte parole 😊

    Répondre
  • Images de toutes beauté, pour un vol sûrement fantastique. Bravo aux Portugais d’HiFly pour avoir monté ça. Et tant pis pour les grincheux…
    Comment a fait le Turbo-Dak que l’on voit à un moment au sol, pour venir de Cape Town ? l’A340 ayant mis 5 heures… Il y a aussi des Twin Otters, des Hercules qui opèrent là-bas depuis longtemps.
    Pour info la France a considéré des vols en Transall pour les Kerguelen, avant d’y renoncer – météo trop changeante sur place…

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  • Bonjour à tous,
    Décidément le matraquage médiatique de l’urgence climatique chauffe beaucoup les esprits !
    Comme dans chaque situation critique a fortiori si elle est planétaire il faut garder son calme et éviter toute critique stérile de faits largement mineurs cela ne peut que semer le doute et la confusion !
    Et cela risque aussi de braquer beaucoup de personnes qui n’aiment pas recevoir de leçons.
    Dites vous bien messieurs les sauveurs de planète en péril que tant qu’il n’y aura pas d’alternative crédible au transport aérien carboné tel qu’il existe vous ne ferez qu’attiser les rancœurs sans apporter aucune solution. Épargnez nous donc je vous en supplie vos leçons de morale et travaillez si vous en êtes capable à trouver les meilleures solutions à un problème de fait extraordinairement complexe.
    Bons vols à tous

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    • Vous voici pris en flagrant délit de donneur de leçon. Au lieu de faire le malin, peut-être devriez-vous vous renseigner un peu (et d’autant plus si vous avez des enfants) sur la situation climatique catastrophique que nous nous préparons collectivement, dans un déni hallucinant. Votre message en est un exemple.  »Il faut garder son calme » dites-vous. Nos gamins, qui connaîtront des températures infernales d’ici quelques décennies, les habitants des pays littoraux qui devront fuir la montée des eaux, vous remercieront pour votre belle inconscience.  »Pas d’alternative crédible » ? Mais quelle plaisanterie ! Et la sobriété ? Pourquoi la seule aviation consommerait-elle l’intégralité des budgets carbone de nos pays en 2050 ? Au nom de quel principe ? Vous semblez avoir besoin d’un bon bain rafraichissant de connaissances scientifiques. Bons vents.

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      • Cher Monsieur
        Si vous prônez la sobriété aéronautique cessez dès aujourd’hui toute activité aéronautique non essentielle à commencer par le vol de loisir.
        Et montez une association pour lutter contre ces activités aussi polluantes que parfaitement improductives.
        Nul doute que vous allez vous faire beaucoup d’amis sur ce forum !

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  • Bien sûr, pour des passionnés d’aviation, les images sont belles et l’aventure a du être exaltante pour l’équipage de conduite.
    En même temps, et à défaut de disposer – avec les communiqués de com. – d’un bilan carbone comparatif avec d’autres vecteurs, était-ce le moyen le plus vert – vs charge, logistique sol, etc… – pour acheminer l’équipe scientifique… et ses accompagnateurs touristes sur site ?
    Dans le contexte COP xx, cette manip est un peu provoc.
    Dommage 🙂

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    • Je ne pense pas que ce soit provoc. L’antarctique est un territoire éloigné. Seul l’avion peut aller permettre un rapatriement rapide de membres de l’expédition tombés malade ou blessés. C’est à mon avis une bonne chose que cela soit possible.

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    • J’espère que vous faites un bilan carbone à chaque fois que vous utilisez votre tondeuse, votre voiture pour partir en vacances, ou même que vous rechargez votre voiture électrique avec de l’électricité qui vient peut-être des centrales à charbon allemandes ou polonaises.
      Méfiance quand on veut donner des leçons!

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      • Il convient peut-être de ne pas mettre sur le même plan, les gestes nécessaires du quotidien, et ceux dont on pourrait se passer.

        Il est difficile de supprimer les pratiques quotidiennes émettrices de CO2. Au mieux on en diminue la fréquence, ou on opte pour une énergie électrique, dont, comme vous l’écrivez, l’origine n’est pas forcément décarbonée.
        Mais prendre l’avion pour faire du tourisme au milieu de l’Antarctique, on pourrait peut-être l’éviter. (Je ne parle pas des scientifiques)

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