Faute d’avoir le niveau scolaire requis, Ari Huusela a dû tirer des bords avant de devenir pilote de ligne. C’est assez tardivement aussi qu’il est arrivé à la voile. Il avait 24 ans, quand un collègue de travail lui a demandé de l’aider à préparer son voilier, pour une course. Dans la foulée, il l’a recruté dans son équipage. 34 ans plus tard, Ari s’engageait pour le tour du monde en solitaire.
Au dessus ou sur les océans du monde, c’est là que Ari Huusela, pilote de ligne chez Finnair et participant au Vendée Globe 2020 se sent le plus heureux… © Ari Huusela / Stark #VG2020
Il lui restait encore trois semaines de course, quand nous l’avons joint sur son bateau. Il était alors au large du Brésil…
Jérôme Bonnard
6 commentaires
Bravo à notre courageux confrère!
Hei Ari…seurataan sinun matkaasi täältä Oleronin saaresta…meillä on Targa 9.6…
Hyvää luistia ja kotimatkaa….BRAVO…Ja nähdäänkö joku päivä ilmassa ?
Moi,moi
Maija ja Gerald
Bravo et respect Mr Huusela! Vous êtes un exemple pour tous, jeunes ou moins jeunes. Vous portez haut le drapeau de la Finlande et le flambeau de la profession.
Bonne fin de course.
Je suis sûr que l’accueil aux Sables d’Olonne sera à la mesure de votre exploit.
Bravo,merci pour ce bel exemple.
Respect cher confrère !
Il suffit d’en avoir réellement envie.
« Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse », je sais c’est d’une banalité affligeante mais c’est ce qui me vient après la lecture du papier de Gérôme Bonnard.
Aris Huusela a certainement du sang de Vikking.
Il me semble que certains humanistes écologistes ont cette trempe, qu’ils ne se tromperont pas pour rappeler au monde aéro les éléments de base d’une aviation verte…
Ils sont moins médiatiques et ostentatoires que Greta Thunberg mais à fond sur les sujets avec des bases solides qui forcément mobiliseront. A suivre.