L’avion survolait la forêt. Depuis trois heures, Franck scrutait la masse sombre des arbres à la recherche de l’épave. .Ses yeux le piquait à force de fixer le moindre détail. Le soleil chauffait l’air. L’ombre de l’avion se déplaçait au-dessous d’eux, telle un fantôme qui recouvre de ses ailes la nature endormie. Tout à coup, il pointa son doigt sur la gauche et s’écria : –