EFIS, GPS, tablettes, le débat sur l’adoption de ces technologies dans l’aviation légère se poursuit depuis des années. Lesquelles peuvent être utiles ? Quelle place leur donner dans l’instruction ? Le GPS, par exemple, à quel moment de l’instruction l’introduire ? Faut-il l’utiliser comme moyen primaire de navigation en VFR, ou seulement en cas de..... ? Quelle utilisation des tablettes en vol ? Devons-enseigner leur usage aux élèves ? Comment assurer la formation continue des pilotes brevetés ?
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Actualité et information aéronautique
9 commentaires
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Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
Bonjour,
J’ai justement consacré mon mémoire de fin d’études et mon projet de diplôme à l’apprentissage au pilotage dans l’aviation générale. J’ai travaillé, dans une démarche centrée utilisateur, avec des instructeurs, élèves pilotes…afin de le concevoir au plus juste.
Ce projet de design produit et Ux sera d’ailleurs exposé à Nantes à partir du mois de novembre. Il s’agit d’un nouvel outil de formation au pilotage utilisant de nouvelles technologies.
Major de ma promotion grâce à ce projet, j’aimerai pouvoir intervenir à ce séminaire en tant que designer / chef de projet innovant. Pouvez-vous m’aider ?
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
Bonjour,
Je vous laisse contacter l’ANPI à l’adresse seminaire@anpifrance.eu.
Merci
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
Avis différent de celui de FbS … Il me semble que les GPS intégrés ou en tablette sont une avancée et que leur bilan « sécurité-risque » est très positif. Il faut apprendre avec, et simplement connaître les limites et les pièges (comme ceux d’un Pitot, d’une jauge, d’un compas mal calé …etc) et s’astreindre à s’en passer de temps en temps. Charge aux aéroclubs de les intégrer dans les check-lists. Qu’il y ait un débat sur l’examen PPL je comprends, mais considérer que ça ne peut pas être un moyen nominal pour naviguer, c’est dommage.
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
Bonsoir,
J’ai un ULM équipé de 2 GPS une tablette avec « Mach7 » et un EFIS/EMS et les cartes à bord.
Je passe mon PPL, avec les cartes bien sur, mais pour passer à proximité des nombreuses zone P et parcs nationaux j’aime bien mon Ipad….
Personnellement je pense que l’utilisation exclusive des cartes doit s’accompagner d’une augmentation de la taille des réservoirs et ne pas craindre les pénétrations intempestives de zones.
Cordialement
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
Ce qui est curieux c’est qu’il y a de plus en plus de GPS dans les avions et ulms mais que la 1ère cause d’infraction aéronautique en France soit la pénétration non autorisée dans des zones réglementées……
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
Content de voir que le sujet, deja pourtant ancien, soit aujourd’hui l’objet d’ un séminaire ou l’ensemble des organismes concernés vont pouvoir se rencontrer. Bravo à cette initative qui donne une vrai légitimité au sujet qui jusqu’à présent restait cloisoné dans l’univers des salles de préparation d’aéroclubs.
Je vous propose un document qui certes n’a pas la rigueur d’ une vrai étude universitaire, mais qui à au moins le mérite de mettre en valeur certaines préoccupations de sécurité et tente d’y apporter quelques recommendations.
RDV le 14 Décembre donc et bon vols en attendant.
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
En tant qu’instructeur, mon principal souci est que le pilotage VFR ne se transforme pas en jeu vidéo avec des pilotes les yeux rivés sur des écrans animés avec toutes sortes de couleurs et d’informations (souvent inutiles pour maintenir une simple ligne droite) qui en oublient que la 1ère règle demeure voir et être vu et la seconde savoir rester maître de la trajectoire en cas de panne du moteur ou de l’instrumentation.
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
+1.
Le GPS ne doit pas, du moins en VFR, devenir l’instrument primaire de navigation, mais juste un outil pour confirmer que l’on est sur la bonne route. Et pour cela, pas besoin de grosse formation..
Les instructeurs de l’aviation générale face aux nouvelles technologies
S’il était possible de faire simple, à priori, il y en a trop, et pour les non spécialiste en informatique, il y a de quoi se prendre les pieds dans le tapis, ce qui, en l’air, est pour le moins génant
il semble que le petit dernier est un peu plus simple…pourquoi pas améliorer encore.
dans la pratique, on passe des simples » pendules » au modèle correspondant au presque IFR, cela permet peut être de demander » un peu plus » que le gratuit, mais ne convient qu’à ceux qui ont une bonne expérience de l’ utilisation de ce matériel, et comme en plus, il faut toujours avoir le bon oeil à l ‘ extérieur , cela fait beaucoup !
bien que ce ne soit pas le sujet,on peut se poser la question si un TCAS ne sera plus utile, les eoliennes à 2OO m sol vont bientot prospérer , en plus de defigurer notre belle FRance, il faudra faire attention de ne pas les percuter.