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Toujours autant de préoccupations pour le transport aérien français

De gauche à droite : Marc Rochet, Groupe Dubreuil - Président de la Commission Economie et Compétitivité de la FNAM | Alain-Hervé Bernard, Directeur Général Délégué Air France | Pascal de Izaguirre, Président de la FNAM et de Corsair | Julien Ducoup, FedEx - Président de la Commission Environnement. © FNAM

La fédération nationale de l’aviation et ses métiers (FNAM) dresse un bilan satisfaisant de l’été 2023. Les perspectives de trafic hiver 2023/2024 s’annoncent bonnes. Elle se déclare prête à relever le défi des jeux Olympiques. Le pavillon français continue de souffrir d’une érosion forte et régulière avec une part de marché désormais en dessous de 40%.

L’été 2023 a été marqué par de bonnes performances opérationnelles (passage des frontières et de la sûreté et traitement des bagages) dans les aéroports, malgré une activité se rapprochant de 95% des niveaux de 2019 pour le hub de Roissy-Charles-de-Gaulle, estime la FNAM. « Cependant, des problèmes de ponctualité persistent en raison notamment d’une performance encore insuffisante du contrôle du trafic aérien. Ces défis persisteront en 2024 avec la mise en œuvre du système 4-Flight qui constitue...

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  • En étant volontairement caricaturiste je fais un raccourci :
    « FNAM dresse un bilan satisfaisant de l’été 2023… … le pavillon français continue de souffrir d’une érosion forte et régulière avec une part de marché désormais en dessous de 40%. »
    Sautant sur le sourire satisfait des participants, enjambant ma mauvaise foi, il serait intéressant de recenser pour le lecteur les facteurs qui érodent sans discontinuité le pavillon tricolore.
    Déjà, en 2014, le rapport Leroux avait dégagé l’essentiel.
    Depuis, qu’a-t-on fait ?
    https://medias.vie-publique.fr/data_storage_s3/rapport/pdf/144000658.pdf

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