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Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont

Par manque d’anticipation du Service de la navigation aérienne, l’aéroport d’Avignon risque de ne plus être accessible à l’aviation commerciale et aux jets d’affaires, à compter du 18 janvier 2016. Dans l’urgence une solution de bon sens est envisagée, mais elle devra tenir compte des revendications syndicales des électroniciens de l’aviation civile pour être mise en oeuvre.

Le gestionnaire et les usagers de l’aéroport d’Avignon-Caumont sont mobilisés pour sauver leur ILS. Ils ont jusqu’au 18 janvier 2016 pour réussir. S’ils n’y parviennent pas, à compter de cette date, il ne sera plus possible de réaliser une approche de précision aux instruments. Autrement dit, les avions d’affaires et les compagnies régulières ne pourront plus accéder à la Cité des Papes. Les écoles de pilotage devront également chercher un autre terrain d’entrainement. Le compte à rebours est enclenché...

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19 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    1-« Et puis ça va peut-être même créer de l’emploi non (sans mettre au chomdu les électro du SNA me semble-t-il ?) » Ben si, c’est justement le but.
    L’objectif est une réduction d’effectifs de 10 à 20% sur 5 ans mais pas que sur les électroniciens :
    La suppression d’environ 70 ILS en France emmène des effets de bords. Si le trafic baisse sur ces terrains (tous les avions ne pas équipés gnss), l’offre de contrôle sera également réduite et les terrains déclassés.
    2-« ? Moi je m’en fous de savoir qui paye la maintenance, de l’Etat ou de la Région, je cotise aux deux.  »
    Et est-ce que t’en fous de savoir que la maintenance de l’ILS d’Avignon payée par l’état coûte environ 35000€ alors que celle qui sera payée par la région au près d’un prestataire privé coûtera entre 70 et 80000€.
    Si tu n’est pas pilote, tu seras également heureux d’apprendre que dans un cas, ce sont tes impôts (région) qui financent la maintenance, alors que dans l’autre, ce sont uniquement les utilisateurs de la plate-forme qui payent via les redevances.(la DGAC est financée en majeure partie via un budget annexe issu des redevances aériennes).
    3-Normal que tu n’ai pas pas tout capté au film, la première vision est parfois un peu compliquée. Mais maintenant que tu as les sous-titres tu peux participer au combat sans te tromper puisqu’il va dans le sens des intérêts de tous les utilisateurs de la plate-forme et même bien au-delà. Nous aurons juste à déplorer les non-profits d’une entreprise qui n’aurait de toute façon pas crée beaucoup d’emploi et dont on est pas encore sur de la qualité de service.
    NB: La maintenance d’un ils dans les SNA compte pour 0,3 Etp(équivalent temps plein).
    La douzaine d’ILS repris par les régions vont donc générer moins d’une dizaine d’emplois… sur toute la France et beaucoup de co2 pour aller de Castres à Avignon, en passant par Agen, Brive, rochefort Calais, Mervilles ou encore Lyon -Brons….
    Mais on est plus à une gabegie près dans ce pays….

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    J’ai raté un épisode ou bien il suffit juste que les électroniciens du SNA fassent normalement leur travail de maintenance dans les jours qui viennent pour que la calibration puisse se faire le 18 janvier et qu’on continue à voler des ILS le temps que la Région reprenne sa maintenance? Non? Moi je m’en fous de savoir qui paye la maintenance, de l’Etat ou de la Région, je cotise aux deux. La Région elle gère tous les TER, les lycées et plein d’autres trucs, elle peut bien se payer un pauvre ILS si tout le monde est autant d’accord pour dire que c’est stratégique pour l’économie locale. Et puis ça va peut-être même créer de l’emploi non (sans mettre au chomdu les électro du SNA me semble-t-il?)
    Mais bon j’ai sans doute rien capté au film.
    @lesélectroniciensduSNA: ne prenez pas mal mon commentaire, je comprends que ça vous fasse qqchose de lâcher la maintenance d’un truc auquel vous êtes certainement attachés, mais bon il ne faut juste pas se tromper de combat quand même.

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  • par collectif avignon

    Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Bonjour et merci à Aerobuzz ainsi qu’aux commentateurs de vous intéresser à notre sort, en espérant sortir de cette situation ubuesque.

    Nous avons maintenant une page FB ne nécessitant pas d’avoir un compte pour être lue.
    Alors lisez, faites vous votre opinion et si vous partagez notre inquiétude alors contactez nous !

    https://www.facebook.com/sauvez.ils.avignon/?ref=ts&fref=ts

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Je ne sais pas ou se trouve Bruz, mais si c’est à coté de LFRN avec risque de perturbations, il est difficilement imaginable qu’aucun NOTAM n’ait été publié concernant des perturbations pour les RNAV10 et RNAV28, par ailleurs il existe des procédures ILS28, VOR28, VOR10 et même une NDB28. Rappelons qu’avant de débuter une GNSS, plusieurs conditions doivent être vérifiées par l’équipage, DOP, prédiction RAIM etc. avec notamment en plus une solution d’extraction une fois la procédure engagée. Par conséquent l’argument n°1 du commentaire précédent ne me semble pas très important. Rappelons enfin qu’un « avion de ligne » effectuant du « TPP » ne navigue pas « à vue », heureusement, son régime de vol est IFR, des approches dites ‘à vue » peuvent néanmoins être effectuées sous certaines conditions mais toujours sous plan de vol IFR.

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Nous vous remercions pour votre article qui met en lumière le réel problème du devenir de l’ILS d’Avignon.

    Cependant, permettez nous de nuancer quelque peu vos propos. Votre article laisse penser que les électroniciens ont attendu le dernier moment pour faire part de leur incompréhension face aux positions dogmatiques de leur direction et présenter « leurs revendications ».

    Depuis plus d’un an, les électroniciens sont mobilisés et tentent d’infléchir la position de la DSNA afin de réintégrer cet équipement dans le réseau minimal, en particulier en insistant sur les points suivants :

    – Les problèmes non encore solutionnés de brouillage des signaux GNSS affectant directement la sécurité (cf. article aéroport de Rennes).

    http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/aeroport-de-rennes-les-militaires-brouillent-les-gps-des-avions-2627649

    – L’aéroport d’Avignon Caumont est à ce jour contrôlé par du personnel DSNA, maintenu par du personnel DSNA et l’approche d’Avignon est assuré par le contrôle DSNA de Marseille – Provence.

    – L’existence d’une délégation de Service Public (DSP) jusqu’en mars 2017.

    – Un surcoût du prestataire privé par rapport au service de Maintenance du SNA-SSE.

    Garder la maintenance de l’ILS à la charge du SNA-SSE est la seule solution garantissant un maintien pérenne de l’installation, assurant ainsi l’avenir de l’aéroport d’Avignon.

    En effet, même si le gestionnaire de l’aéroport a proposé de reprendre à son compte le coût de la maintenance de l’ILS, le financement d’un futur prestataire privé chargé de cette maintenance reste conditionné à l’approbation de la Région PACA.

    Nouvellement élue, il est probable que la nouvelle équipe prenne un peu de temps pour gérer le dossier dont l’issue est incertaine en ces temps de restrictions budgétaires.

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Pilotes de l’aviation générale, votre avis nous interesse !
    N’oublions pas l’enquête de satisfaction lancée par la DSNA …
    http://enqueteur.dgac.developpement-durable.gouv.fr/index.php?sid=75568&lang=fr
    Prenons tous 10 minutes pour y répondre …

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    quelques précisions sur les approches RNAV(GNSS) qui remplaceront la plupart des ILS, en particulier les approches avec minima LPV qui se rapprochent le plus des performances de l’ILS cat I (directive de la DSNA de ne maintenir qu’un réseau minimal d’ILS, en particulier Cat III) :
    On est là sur approche APV (Approach with Vertical Guidance) : catégorie intermédiaire entre approche de précision et approche de non précision introduite dans le PBN manual de l’ICAO (doc. 9613); de type APV SBAS, c’est-à-dire que le profil vertical est un profil géométrique basé sur des informations satellitaires augmentées (~GPS différentiel) utilisant la constellation EGNOS en l’occurence (en Europe). Contrairement aux approches RNAV(GNSS) avec minima Baro-VNAV (LNAV/VNAV), ici il n’y a pas de limitation en température.
    Ce type d’approche autorise les minimas les plus bas sur cette catégorie d’approche APV = minima LPV (Localizer Performance with Vertical Guidance), permettant ainsi une approche sur une profil vertical défini jusqu’à une hauteur de décision de l’ordre de 250 ft.

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Quand je vois le mot GPS,je suis pris par une légère angoisse.Les millions de propriétaires de ces navigateur appelés improprement GPS ignorent dans leur majorité que le GPS,le vrai,est propriété de l’armée américaine,qui selon la rumeur le laisse utiliser gratuitement par tout le monde.Ce qui veut dire que,en cas de conflit,ils peuvent « fermer le robinet » sans préavis Alors envisager de l’utiliser pour la sécurité aérienne,me parait être une décision imprudente

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    L intersyndicale en profitante d une telle situation pour faire avancer ses revendications risque de provoquer l effet inverse de ce qu elle recherche. Une manoeuvre qui va a l encontre de l interet general n est pas souhaitable et risque au contraire de favoriser a terme le passage de la maintenance de ce genre d’équipement vers les entreprises privées.

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    • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
      les revendications de L’intersyndicale ne sont pas exorbitantes et vont en fait contradictoirement dans le sens des usagers
      les services de la navigation aérienne sud sud-est ont reporté deux fois le contrôle en vol en laissant croire, même à son échelon centrale la DSNA, que c’était de la faute des électroniciens, mensonges ! c’etait un choix délibéré !
      Le but était bien d’arriver en janvier 2016 à la fin de validité de l’ILS et pensant que les gnss seraient prêtent et de transférer coûte que coûte la maintenance de l’ILS à la région.
      Et catastrophe en novembre voilà que le SNA Sud sud est réalise que la procédure gnss ne sera pas publié à temps. Ah zut alors ! Pas grave on continue ! Puis on réalise que la société chargée d’effectuer la maintenance n’est toujours pas certifiée…par la DGAC. Ah zut alors ! pas grave on continue ! Et dernier point mais pas des moindres mais que « personne » en tout cas au SNA n’avait anticipé (à moins que…) les élections…et le fait que la région ne puisse plus engager sa signature avant au moins avril sur un contrat de maintenance pluriannuel. Ah zut alors! Pas grave On continue !
      Que cela ne tienne, après avoir fait porter le chapeau aux électroniciens on va leur demander de reprendre la maintenance ! jusqu’à quand me direz vous ? Jusqu’à ce que la région soit prête à reprendre la maintenance bien sur!! Mais non pas du tout ! seulement jusqu’à ce les procédures gnss soient publiées. la continuité de l’exploitation de l’ILS important peut au SNA et puis comme ça si la nouvelle région se désengage de l’ILS on ne se retrouvera pas avec sur les bras. Et tant pis pour les usagers.
      alors que demande cette fameuse intersyndicale? et bien elle demande que la maintenance soit assurée par la DGAC pendant une période plus longue correspondant à ce que la DGAC a prescrit elle même lors de son plan de désengagement des ILS : celle de la délégation de service publique du gestionnaire. Soit mars 2017. Et que soit réétudier par les instances adéquates la réintégration de l’ILS d’Avignon dans le réseau minimal des ILS dont la maintenance reste assurée par la DGAC. Les arguments ne manquent pas il faut juste laisser le temps de les présenter et c’est ce que ne souhaite pas laisser faire le SNA, sans doute par crainte que l’on réalise que depuis le début il œuvrait pour la suppression pure et simple de cette équipement…
      alors qui faut il blâmer ? sur qui faut il faire pression ?
      Les responsabilités ne sont donc peut être pas a chercher auprès de l’intersyndicale.

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    • par Solidaire de Lundeux

      Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
      Merci Lundeux

      Finit de se cacher derrière de fausses excuses, les vrais responsables de la situation ne pourront plus blâmer les autres et, espérons-le, prendront enfin des décisions dans l’intérêt collectif.

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Il n’y a pas une enquête en cours sur l’efficacité de la DSNA en ce moment ?
    là peut être :
    http://www.developpement-durable.gouv.fr/Enquete-de-satisfaction-des.html
    enfin moi ce que j’en dit 🙂

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Bravo!!!
    Aux utilisateurs mécontents, je rappelle qu’en se moment il y a une grande enquête de satisfaction que les services de la DSNA sur le site de la DGAC.
    n’ hésitez pas!!!!

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Utilisateur professionnel de la plateforme aéroportuaire d’Avignon-Caumont, de manière intensive depuis 2008, je reste particulièrement surpris par l’annonce de la menace de mise hors service de l’approche de précision « ILS 17 »
    Si les contraintes budgétaires qui frappent tous les services de l’état sont inévitables, l’existence et l’indépendance de nos systèmes d’aide à l’atterrissage de précision doit primer, sans compromis.

    La situation géographique particulière d’Avignon-Caumont, en pleine région PACA, associée à son ILS et à une équipe de contrôleurs habitués à tout type de trafic aérien, de l’ULM au moyen porteur en passant par les jets d’aviation d’affaire et les hélicoptères, en auront fait un lieu de prédilection de grande qualité aéronautique pour les vols d’entrainements, tous secteurs confondus, particulièrement pour l’IFR. Les écoles de toute la région PACA ne s’y sont pas trompées. Elles ont élu la plateforme depuis plusieurs décennies, avec des centaines d’approches de précision effectuées chaque année.

    Imaginez un instant la disparation de cette approche de précision. Immanquablement les vols se reporteront sur les approches disponibles à Marseille, Toulon, Hyères et Cannes Mandelieu, saturant d’autant ces plateformes, toutes avec un trafic commercial intense, souvent soumises à des régulations limitant déjà les mouvements. Le report de tous ces vols d’entrainement, effectués dans un cadre de formation intégrant des « erreurs» inhérentes au cursus des pilotes ne présage pas d’une intégration harmonieuse, sans même évoquer la réalité d’une augmentation significative des risques.

    Au-delà de l’activité d’écolage, l’absence d’ILS interdira dès lors la sélection d’Avignon-Caumont comme aéroport de déroutement, saturant d’avantage les plateformes de Nice, Cannes Mandelieu, Marseille et Toulon. Nos amis militaires se trouveront également dépourvus de cette option, parfaitement appropriée à l’heure actuelle.

    Fervent défenseur des avancées technologiques améliorant la navigation aérienne et des avantages indéniables des approches GNSS, quand bien même ce type d’approche serait disponible à Avignon-Caumont il semble important de rappeler quelques évidences liées au GPS. Dans un contexte sécuritaire tendu, au sein d’une nation en état d’urgence, nous ne pouvons ignorer notre dépendance totale aux Etats-Unis d’Amérique quant à la disponibilité des approches satellitaires. Les récentes déclarations de candidat à la maison blanche concernant des actions radicales doivent nous alerter quand à cette hypothèse de fin de service GNSS quasi instantané. Quoi que l’on en dise, le Président des Etats-Unis en a le pouvoir. Tant que nous n’avons pas mis en œuvre notre propre système satellitaire, Galiléo, il parait peu prudent de nous rendre encore plus dépendants.

    Pour les seules raisons évoquées, tant sécuritaires qu’opérationnelles, il paraît essentiel de conserver la plateforme d’Avignon-Caumont dans le réseau dit « minimal » associé à son approche de précision. Les économies apparentes liées à cette suppression seront sans commune mesure avec les coûts engendrés par l’augmentation de trafic et les délais sur les plateformes évoquées ou pire encore les incidents ou accidents potentiellement occasionnés ​

     » Fly Safe – Be Happy »

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  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    Cette situation est ubuesque.
    Mais, elle est à l’image de ce que devient notre pays France.
    L’intérêt personnel, le 1000 feuilles administratif continue de faire triompher la bêtise au détriment de l’intérêt collectif.
    Que de temps et d’énergie perdus.
    Pauvre France

    Répondre
  • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
    bonsoir ,
    l’ils d’avignon aujourdu’hui associe à d’autres procédures fait que toutes les écoles de paca y compris militaires ont un support formation très utile d’un point de vue pédagogique sans encombrer les aérodromes à vocations commerciales opérationnelles .
    Sa disparition est synonyme d’un enorme gachis.Veut-on par sa disparition condamner la formation IFR dans le secteur ?
    j’espère que la raison prendra le dessus et que par la voie de dérogations il sera actif en attendant la possibilité d’effectuer le vol de controle qui le revalidera.Le 18 Janvier il sera condamné et pourtant le 19 il sera surement encore bon pour le service !
    Tres amicalement et dans le souci de faire valoir le bon sens ;.

    Robert

    Répondre
    • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
      Bonjour.
      Triste destin pour les ILS.
      Beaucoup de terrains sont concernés. La répercussion sur la formation, leur accessibilité est un véritable problème soulevé ici par vous tous.
      Le démantèlement du réseau ILS va sûrement trop vite au regard de la publication de procédures RNAV, des contraintes réglementaires en terme d accessibilité, et des équipements avions et équipages nécessaires.
      Sachez en tout cas que les pilotes de la calibration de L ENAC seront prêts à venir calibrer cet ILS avant le 18 janvier.
      Cordialement
      CALIBRA

      Répondre
    • Rififi sur l’ILS d’Avignon-Caumont
      Bonjour,
      J’aime bien le commentaire calibra , les pilotes de l’énac ne peuvent pas faire grand chose sans l’iessa à bord qui fait réellement le boulot de contrôle en vol. C’est une vision typique hélas.

      Répondre

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