Pour délivrer à Pipistrel, la première certification au monde d’un avion électrique, l’EASA a adopté une approche innovante. Dominique Roland, responsable du département aviation générale à l’Agence européenne de la sécurité aérienne civile, explique ici la démarche qui a abouti en un temps record à la certification du Velis Electro.
C’est plus qu’un avion que l’EASA a dû certifier à travers le Velis Electro de Pipistrel. C’est la raison pour laquelle, Dominique Roland, en charge du dossier, a choisi de créer « une équipe multidisciplinaire qui allait au-delà de l’équipe de certification normale ». Il a également associé la DGAC en France et la FOCA en Suisse, deux autorités nationales qui ont autorisé l’exploitation sous laisser-passer du Pipistrel Alpha Electro, pour bénéficier de leur retour d’expérience.
Un commentaire
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⮑
bien sur… bien sur… et on emploie toujours pas le vrai nom des moteurs dit électriques… c’est a dire » moteur nucléaire » comme quoi on a eu beau avoir fait de hautes études techniques ( vu son âge il y a longtemps… ) des études ou les cours d’écologie sommaires n’existaient pas comme quoi il serait temps de remplacer les têtes dites pensantes par des jeunes techniciens plus au courant des soucis environnementaux