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Les autogires DTA sous contrôle chinois

Ghyslaine Caillot, Georges Monier et Jean-Michel Dizier en compagnie du nouveau propriétaire de DTA. © DTA

    Le fabricant d’autogires DTA, implanté sur l’aérodrome de Montélimar, annonce qu’il vient d’être vendu au groupe chinois Tong Yu. Depuis quelques temps, les trois actionnaires historiques de DTA dont Jean-Michel Dizier le fondateur, et son épouse Ghyslaine Caillot, souhaitaient céder leur société. L’opportunité leur a été offerte par Tong Yu qui leur a acheté trois autogires en 2015.

« Ce nouvel actionnaire souhaite maintenir et développer l’outil de production à Montélimar, mais aussi soutenir les nouveaux projets en développement », affirme Georges Monier, présent depuis deux ans aux côtés de Jean Michel Dizier et de Ghyslaine Caillot, et qui prend le poste de directeur opérationnel. Thomas Roquet devient responsable de la production. Jean Michel et Ghyslaine quant à eux accompagneront cette transition.

Outre l’assemblage du 51ème J-Ro, DTA travaille actuellement au développement d’un nouveau modèle qui pourrait être dévoilé au printemps...

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3 commentaires

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  • Wait and see….tout est possible , le pire comme le meilleur, il faut croire au meilleur…l’immense marché chinois peut être profitable au marché européen, donc français, le but de DTA est certainement d’offrir des machines à un prix défiant la concurrence ! Garder l’antenne Européenne à Montelimard, avec du personnel réduit et compétent ! J’en prends le pari ! Bons vols ! Doc Silac

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  • Je suis un amateur convaincu de l’autogire pour ses qualités de vol notamment dans des conditions de vol en turbulences. Les coûts de production doivent certainement être élevés ce qui explique probablement le prix élevé des machines. Ce n’est probablement pas facile de maintenir son entreprise dans ces conditions là. J’ai l’impression qu’il faudrait que l’on puisse se construire son autogire avec l’assistance de DTA par exemple un peu comme Ford l’a fait avec sa Ford T. Si on démocratise suffisamment ça devrait marcher. Cordialement, Jacques TRUCHOT

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  • Un chinois qui veut garder une production en France ? Il doit aimer le nougat celui là ! Ce sera une première !!!!!…..?!?!?
    Allez, 1/2 ans, max, tout au plus. Surtout si l’objectif est de concurrencer les collègues, c’est pas leur habitude de payer des charges au prix fort.

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