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Sondage : L’avion plus vert, oui, mais pas plus cher !

61% des personnes interrogées n'avaient jamais entendu parler d'avions électriques avant de répondre à cette enquête. © easyJet

Selon les résultats d’une étude du cabinet Ansys sur la mobilité de demain, 41% des Français se disent prêts à voyager avec des compagnies aériennes qui s'engagent à réduire leur empreinte carbone, à condition toutefois que le coût du billet ne soit pas impacté.

A l’échelle mondiale, près de deux tiers des voyageurs se soucieraient de leur empreinte carbone lors de leurs voyages en avion. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par le cabinet Ansys L’étude Ansys a été réalisée, en mars 2020, à échelle mondiale auprès de 16.037 personnes dans 10 pays, dont la France. Elle entend mettre en lumière les différences de perceptions, de perspectives et de préoccupations des consommateurs en termes d’acquisition...

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8 commentaires

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  • Faudra t’ il voyager a jeun vêtu nylon avec sa brosse à dent uniquement, on passe sur la balance, si maladie systémique, mettons la carte vitale, certains se verront rembourser en sandwich, quand les avions seront leger(ement) electric…!

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  • Pourquoi laisser entendre que le fait de polluer moins necessiterait un billet plus cher ?
    A l image du bio que l on nous vend bien plus cher qu il ne devrait l etre puisqu il y a theoriquement moins d intermediaires.
    D antan tout etait bio et les prix proportionnellement etaient bien plus abordables que ceux pratiques aujourdh ui.
    On sait aussi que les stats…sont manipulables comme d ailleurs l avion electrique tel qu on l imagine n est pas pour demain…

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    • Farpaitement, je plussoie.

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    • par Pilotaillon écolo

      Oui le bio est un bon exemple…
      Avec une pulvérisation (quelques heures de travail et une bouillie de phytosanitaire) on éradique sur le champ (?!) et dans la durée (rémanence des produits) l’ensemble des parasites d’une culture. Le producteur dort tranquillement mais les conséquences se mesurent aujourd’hui, au travers des déséquilibres profonds des milieux naturels et la perspective d’avoir saccagé la planète, et des ressources alimentaires surtout.

      Le bio c’est soit à revenir aux anciens procédés quitte à mettre en jeu la production, soit passer à la lutte biologique, qui consiste à opposer des prédateurs (la coccinelle) ou des biorégulateurs (microorganismes) aux parasites et de traiter le développement des adventices (mauvaise herbes) par des procédés manuels ou mécaniques.

      Bilan : il faut de nouvelles connaissances (entomologie, données biologiques et climatiques locales…) pour cette mise en œuvre vertueuse (différent de vert-tueuse :o) ).
      Traduit en terme de coût : beaucoup plus cher, car des compétences se paient et les rendements diminuent.
      Si l’on va vers l’aval et la distribution, qui a tellement organisé sa logistique et optimisé jusqu’au 1/10eme de centime, tout changement se paie comme un cas spécifique, cad cher également.
      Mon pont de vue serait de considérer et rétribuer la préservation de l’environnement dans le prix de revient des produits alimentaires de base, car la nature est un bien collectif, davantage que des primes PAC Europe, mais je vais peut-être un peu vite… Le consommateur n’est pas conscient de cette face du sujet.

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  • Le beurre, l’argent du beurre et le c.l de la crémière…

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  • L’avion de transport électrique ce n’est pas pour demain !
    Même en imaginant la technologie maîtrisée aujourd’hui et donc utilisable, il faudrait encore une décennie pour obtenir les certifications nécessaires à l’exploitation commerciale de tels avions.
    Quand à lever le sentiment de culpabilité des usagers en proposant de compenser l’´empreinte carbone en plantant des arbres, il faudrait commencer à ne plus détruire les forêts existantes, telles celles de l’Amazonie, par exemple.

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  • Pas vraiment étonné sur le « pas plus cher »…
    C’est l’éternel enjeu : comment donner à comprendre que la R&D et l’innovation a un coût ?
    On n’a pas le génie des GAFA qui inversent les rôles et font croire que beaucoup de services sont gratuits.

    Aller un fois encore, il va falloir discuter le bout de gras.

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