Les opérations de maintenance lourde du Charles de Gaulle, d’une durée de 18 mois et programmées de 2017 à 2018, posent de nouveau la question de l’emploi du groupe aérien embarqué pendant l’indisponibilité du porte-avions. En cas de nécessité opérationnelle, une solution serait d’employer les avions depuis des bases terrestres. Mais cela ne règlerait pas la question du maintien des qualifications à l’appontage pour les équipages.