Le Pégase Mark II n’est toujours pas qualifié. L’engin volant ne répond pas aux exigences spécifiques de certains clients, en particulier l’armée française qui a investi près de 700.000 euros dans le programme. Pour y remédier, son inventeur Vaylon (une start up alsacienne) a fait appel à Sopemea, filiale d’Apave.
Défense – brèves
L’armée de l’Air complètement à l’Est
09 juin 2018 par Frédéric LertFin du Hornet, fin des échanges franco-américains ?
Quelles conséquences pour l’Aéronavale française du retrait des derniers F/A-8 Hornet de l’US Navy ?