Confronté à de sérieuses difficultés économiques, le constructeur de l’Eclipse 500 a peut-être trouvé son salut en ouvrant son capital à la société d’investissement luxembourgeoise ETIRC. En injectant 100 millions de dollars, celle-ci devient l’actionnaire numéro 1 et le représentant exclusif pour l’ensemble de l’Europe. A terme, le petit biréacteur ultra-léger américain pourrait être produit également en Russie.