Avec « Les combattantes », un livre de près de 500 pages puisé aux sources mêmes des archives soviétiques, Liouba Vinogradova apporte un éclairage nouveaux sur celles que leurs ennemis baptisèrent « les sorcières de la nuit ». Elle dresse en particulier un portrait sans concession de la plus célèbre d’entre toutes, Marina Raskova, commandante et agent du NKVD.