Aviation Générale

Dévoilé lors du salon du Bourget 2013, le monoréacteur polonais est de nouveau à Paris. Le Flaris LAR01 a effectué depuis la dernière édition des essais de roulage concluants. Le Williams FJ33-5A a été retenu comme moteur définitif. Le premier vol est prévu cet été.

Entre les poids-lourds du transport aérien, les avions d’armes et les voilures tournantes de nouvelle génération, les visiteurs du 51ème salon du Bourget pourront découvrir sur l’exposition statique le Carbon Cub EX2 (Cubcrafters) présenté par Horus Aero. Le premier vol de ce jouet prometteur vendu en kit est prévu en juillet 2015, à Muret.

A l’occasion du salon de l’aviation générale qu’il a accueilli en fin de semaine dernière (4, 5 et 6 juin 2015), l’aéroport Lyon-Bron a fait la démonstration de ses capacités d’accueil. Au-delà de l’assistance en escale (FBO), ce sont tous les professionnels de la plate-forme, contrôleurs aériens compris, qui se sont mobilisés.

André Borschberg a décollé samedi 30 mai de Chine pour un vol de plus de 8.000 km au-dessus du Pacifique. SI2 doit rejoindre Hawaï, en 120 heures de vol, à la seule force de l’énergie solaire.

Samedi 30 mai, à Muret, les spectateurs du traditionnel meeting aérien AirExpo, vont pouvoir assister au premier envol public d’un Cricri depuis le toit d’une Subaru lancée à 120 km/h sur la piste d’envol. Lionel Adroit qui sera aux commandes du plus petit bimoteur du monde a eu l’idée de ce numéro de cirque aérien, en 2009, à Oshkosh.

Dans le but de simplifier les conditions techniques de certification des aéronefs légers et d’harmoniser les règles entre l’Europe et le Etats-Unis, professionnels et usagers ont eu jusqu’au 27 mai 2015 minuit pour se prononcer sur l’avant-projet de réglementation proposé par l’Agence Européenne pour la Sécurité Aérienne (A-NPA 2015-06). Pour les européens, le risque est que l’EASA se repose sur l’industrie américaine pour l’écriture et la

Après 100 ans de présence militaire sur la BA102, la mythique base aérienne de Dijon-Longvic va disparaître en 2016 au profit de l’activité civile qui cohabitait jusque là avec les militaires. La Bourgogne cherche à maintenir l’activité aérienne existante et adopte une nouvelle stratégie de développement économique de l’aéroport.